Même si tu sens la fatigue,
Si le triomphe t’abandonne,
Même si une erreur te fait mal,
Même si une illusion s’éteint,
Même si on ignore tes efforts,
Même si l’ingratitude en est la paye,
Même si l’incompréhension coupe ton rire,
Ce qui me choque, c’est que ça fait 2 fois qu’on m’a fait miroiter une acceptation pour CE projet-là, et chaque fois, je me suis retrouvé avec un poignard dans le dos.
C’était pas un « oui », mais un très-énorme-gros miroitement de « oui ». Genre que les mots « j’adore » et « contrat » sont revenus plusieurs fois dans la conversation.
Je peux reconnaître ce sentiment qui anéanti totalement mais qui peut, après un certain temps, devenir un carburant.
Je me rappelle encore cet éditeur au téléphone, après l’envoi du premier tome des Moufettes: « J’ai presque envie de vous envoyer un contrat, mais il doit passer par…»
Trois semaines plus tard… la lettre de refus. C’était le boss, bordel!
Aujourd’hui je dis: Yavayinke!!!!!
Devraient pas jouer avec nos nerfs de même…
Pourquoi ai-je la de moins en moins vague impression que les éditeurs et les directeurs et directrices littéraires jouent avec les nerfs des auteurs. Jouent au yoyo. N’ont aucune idée de de qu’est un auteur. Je voudrais bien savoir ce qui se dit dans les réunions. Et qui sont ces comités de lecture?
Pour un manuscrit, depuis deux ans, je n’ai jamais entendu ni le mot non, ni le mot oui, ni le mot contrat. Que faut-il penser? Eh oui, recommencer ailleurs!
Ne devenez pas écrivain, c’est un métier détestable.
Désolée de lire ça :-(
Même si tu sens la fatigue,
Si le triomphe t’abandonne,
Même si une erreur te fait mal,
Même si une illusion s’éteint,
Même si on ignore tes efforts,
Même si l’ingratitude en est la paye,
Même si l’incompréhension coupe ton rire,
Tiens bon,
Recommence !
Il y en aura d’autres…
… et d’autres, et d’autres encore.
C’est long une carrière d’écrivain (surtout au début!)
Ce qui me choque, c’est que ça fait 2 fois qu’on m’a fait miroiter une acceptation pour CE projet-là, et chaque fois, je me suis retrouvé avec un poignard dans le dos.
Acceptez ou refusez, bordel! Mais pas les deux!
Tu veux dire qu’hier, tu avais un oui par téléphone et qu’au jour d’hui, ils te reviennent par courriel pour te dire non?
C’est chien et en plus, ça manque de classe. C’est comme casser par sms tsé :-p
On veut des noms pour pouvoir les lyncher sur la place publique…
C’était pas un « oui », mais un très-énorme-gros miroitement de « oui ». Genre que les mots « j’adore » et « contrat » sont revenus plusieurs fois dans la conversation.
Je peux reconnaître ce sentiment qui anéanti totalement mais qui peut, après un certain temps, devenir un carburant.
Je me rappelle encore cet éditeur au téléphone, après l’envoi du premier tome des Moufettes: « J’ai presque envie de vous envoyer un contrat, mais il doit passer par…»
Trois semaines plus tard… la lettre de refus. C’était le boss, bordel!
Aujourd’hui je dis: Yavayinke!!!!!
Devraient pas jouer avec nos nerfs de même…
Pourquoi ai-je la de moins en moins vague impression que les éditeurs et les directeurs et directrices littéraires jouent avec les nerfs des auteurs. Jouent au yoyo. N’ont aucune idée de de qu’est un auteur. Je voudrais bien savoir ce qui se dit dans les réunions. Et qui sont ces comités de lecture?
Pour un manuscrit, depuis deux ans, je n’ai jamais entendu ni le mot non, ni le mot oui, ni le mot contrat. Que faut-il penser? Eh oui, recommencer ailleurs!