Nouveauté : la nouvelle « Coincée dans la gorge »

En avril 2014, j’ai publié une nouvelle littéraire dans la recueil Des nouvelles du père, dont le thème était la paternité. Je côtoyais des auteurs tels que Patrick Senécal, Matthieu Simard et Martin Michaud. Dans ce genre de recueil, il y a toujours un no name que personne connaît. Là, c’était moi.

À ce jour, j’ai récupéré une partie de mes droits de publication. Ainsi, je peux vous offrir ma nouvelle dans une édition revue et augmentée, au format numérique.

Parmi les nouveautés incluses dans cette mouture, vous retrouverez un court appendice où je raconte dans quelles circonstances j’ai écrit cette histoire. C’est sympathique, je crois. Prenez ça comme des extras de DVD.

Cliquez sur l’image pour obtenir plus d’informations et lire un résumé :

Coincée dans la gorge

Cette nouvelle est en vente pour 0,99 $ sur Amazon, Kobo et iBooks. Elle est également offerte comme bonus secret avec un abonnement à mon infolettre (vous recevrez le livre numérique environ une semaine après votre inscription).

Les abonnés actuels devraient avoir reçu un lien de téléchargement à l’heure actuelle. Si ce n’est pas le cas, écrivez-moi, on arrangera ça.

Bonne lecture!

Mes vacances en diapositives

Je viens de passer mes vacances les plus relaxantes depuis longtemps.

D’abord, j’ai un peu abusé de l’hospitalité de mes parents à Saint-Odilon-de-Cranbourne, en restant là-bas 5 jours de plus que prévu. (Désolé encore.)

Maudit que c’était relax. T’sais, rien faire pendant une semaine et demie, à part lire, pêcher, manger de la crème molle et faire des promenades en forêt.

La forêt enchantée

Et en plus, la température était superbe. Sauf la fois où je me suis fait pogner par la pluie.

Le pont des Ruel

De retour à Québec, j’ai exploré le Vieux-Québec à l’aveuglette avec ma fille à la recherche de fontaines. On en a trouvé 3 grosses. Une bonne récolte.

Fontaine de l'Hôtel-de-ville

Tourny

Fontaine devant le château Frontenac

On s’est amusés à prendre des photos épiques au Musée de la civilisation.

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On est aussi allés à Charlevoix pour le mariage de mon beau-frère.

Au matin du jour de cérémonie, Jean Désy m’a invité à faire du kayak double sur le fleuve. J’en avais jamais fait. Un peu plus tôt cette année, je m’étais dit que je devrais sortir plus souvent de ma zone de confort.

J’ai dit oui.

J’ai eu le mal de mer toute la journée.

Mais je regrette rien.

Kayak à Charlevoix

Photo du kayak : Jean Désy

Le 2 juillet 2016, je serai au Festi-Livres du Camping LaRochelle, à Trois-Rivières

Le samedi 2 juillet 2016, je sortirai de mon antre pour participer au Festi-Livres du Camping LaRochelle, à Trois-Rivières. Imaginez ça comme un mini-salon du livre avec une quarantaine d’auteurs invités. J’aurai ma propre table et j’y offrirai plusieurs de mes livres, dont le rarissime Alégracia : l’intégrale au format papier.

Avec les années, j’ai réalisé que plus les évènements littéraires étaient petits, plus j’avais du fun.

Ça ouvre à 10h. Venez en grand nombre et amenez-y votre famille!

Je vous joins le communiqué de presse :

Festi-Livres : communiqué de presse

Nobody Wants to Read Your Sh*t

J’interromps le programme pour vous signaler que le nouveau livre de Steven Pressfield (auteur de The War of Art, que vous connaissez peut-être) est temporairement gratuit sur le site de l’éditeur, au format numérique.

Steven Pressfield est un rédacteur, écrivain et scénariste d’expérience qui parle entre autres de concepts dits « universels » comme le « Three act structure » et le « Hero’s journey ». Un petit livre court, drôle et punché. J’en ai déjà lu la moitié, j’aime beaucoup.

Pour télécharger : http://shop.blackirishbooks.com/pages/nobody-wants-to-read-your-sh-t-download

Notez que le livre n’est disponible qu’en anglais pour le moment.

Merci à Frédéric Raymond pour le tuyau!

Les vieilles rancunes : première révision papier terminée

Je viens juste de passer à travers le manuscrit papier, avec mon stylo rouge.

C’était pas beau à voir.

Pour vous remettre en contexte, pour ce roman-là, j’ai choisi d’imprimer mon premier jet « brut » immédiatement après l’avoir terminé, sans le réviser une seule fois à l’écran. Je voulais voir si ça aurait été avantageux de réorganiser l’histoire (et d’éliminer de gros morceaux) avant de commencer la réécriture.

Constat : cette façon de procéder, c’est dur sur l’ego.

Habituellement, quand je suis à l’étape de la révision papier, mon texte a été peaufiné plusieurs fois. Ce que je corrige au stylo, c’est surtout des détails. Déplacer un mot, changer une expression boiteuse, etc.

Là, je ne pouvais pas du tout m’intéresser au détail. TOUT ÉTAIT TELLEMENT MAUVAIS! Ben, mauvais dans le sens où « il y a quand même du potentiel », mais c’était inutile, la plupart du temps, que je m’attarde à la phrase. Je savais que rien ne resterait dans la version finale, ou presque.

Au moins, les bouts à supprimer, je les ai repérés. Cette relecture m’a donné une bonne vue d’ensemble, et je me sens maintenant mieux outillé pour faire la réécriture. Mais ça a été douloureux. J’ignore si je recommanderais cette façon de procéder.

Avant de terminer, je voudrais rendre hommage à l’outil de travail que j’ai utilisé durant le processus. Fraîchement déballé alors que je commençais ma relecture, il a maintenant tout donné.

RIP, mon stylo rouge. T’auras servi rien qu’une fois.

Stylo rouge sur Les vieilles rancunes

Les limbes des immortels réduit à 0,99 $ jusqu’au 8 juin

Il y a une expression dans le monde publicitaire qui dit : « 50 % du marketing fonctionne, sauf qu’on ignore de quel 50 % il s’agit ». Ce n’est pas une science exacte, il n’y a pas de formule absolue. Les stratégies changent d’un type de produit à l’autre, et d’un territoire à l’autre.

Mes éditeurs et moi, on réfléchit souvent à ça. On essaie de trouver de nouvelles manières de faire connaître nos livres. On évalue les tactiques. On fait des tests. On prend des notes.

On a beau s’inspirer de ce qui se passe dans le monde anglo-saxon, ça ne garantit pas du succès ici. Mais il faut essayer pour en avoir le coeur net.

C’est dans cette optique que, jusqu’au 8 juin 2016, les éditions Porte-Bonheur et moi-même vous offrons mon roman Les limbes des immortels au format numérique au prix spécial de 0,99 $ (régulier 5,99 $). Ça représente une économie d’environ 83 %.

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Si depuis longtemps vous avez envie de vous saucer l’orteil dans cet univers de science-fiction dystopique, c’est le bon moment!

Et n’allez pas vous sentir coupable si vous profitez de cette offre. La promotion se déroule avec mon plein consentement. Plus de gens me lisent, plus je serai heureux. (Et n’hésitez pas à partager si le coeur vous en dit.)

Retrouvez Les limbes des immortels sur ces plateformes : Amazon KindleKoboiBooksLesLibraires