Je serai au Salon du livre de Trois-Rivières 2016

Dominic Bellavance au Salon du livre de Trois-Rivières

J’interromps mon écriture pour vous inviter cordialement à venir me dire un petit bonjour en fin de semaine au Salon du livre de Trois-Rivières.

J’y présenterai pas un, pas deux, pas trois, mais bien quatre livres en même temps (malheureusement, nous n’aurons pas encore nos copies de Bienvenue à Spamville… ça ira au Salon du livre de Québec, vraiment désolé).

Au kiosque de Porte-Bonheur, vous pourrez faire signer vos copies de La patience des immortels, le dimanche, entre 10h et 11h.

C’est cependant au kiosque des Six Brumes que j’aurai une présence plus soutenue. J’y serai pour mes trois nouveautés, soit :

Pour les deux derniers titres, ne vous en faites pas : j’ai passé un accord avec la maison d’édition pour présenter ces livres officiellement durant l’évènement. En ce qui concerne Alégracia : l’intégrale, comme on le dit souvent, ce roman est très peu présent en librairie, alors ce sera l’occasion de mettre la main dessus sans payer des frais postaux.

Mon horaire aux Six Brumes est le suivant :

  • Vendredi : 14h à 19h
  • Samedi : 10h à 21h (je vais sûrement m’arrêter pour manger quelque part là-dedans)
  • Dimanche : 11h à 17

Venez en grand nombre! J’ai vu l’horaire, et le kiosque des Six Brumes va grouiller d’auteurs qui vous en mettront plein la gueule avec leur talent.

À paraitre : le roman humoristique Bienvenue à Spamville

Depuis une semaine, je suis atteint de l’influenza – assez sévèrement, d’ailleurs – et je vous le jure : c’est pas un cadeau. Je commence à peine à arrêter de me cracher les poumons, et je recommence un tout petit peu à dormir.

Ainsi, la période du 28 février au 5 mars 2016 sera classée, dans mes souvenirs, au sommet de la catégorie « Top 10 des semaines de marde à vie ».

À paraitre : le roman humoristique Bienvenue à SpamvilleMais au moins, ça s’est terminé sur une bonne note.

Les éditions Porte-Bonheur m’ont enfin permis de vous révéler les informations de base de mon prochain roman intitulé Bienvenue à Spamville, qui paraitra ce printemps. Allons-y de ce pas, en commençant par le résumé…

* * *

Imaginez un Québec alternatif où les personnages sont des sites Web et des applications…

Julie Séguin a installé un micro-ondes neuf sans l’avoir inspecté au préalable. Conséquence : elle attrape un virus domestique. Toutes les écritures dans son appartement se transforment en caractères japonais sous ses yeux. La contagion est agressive, elle menace même de se répandre chez les voisins. De toute urgence, Julie engage la compagnie de nettoyage Nortonne Express.

Avec Hélène, sa colocataire, Julie décide donc de passer le weekend à Saint-Patrice-de-l’Ancienne-Montagne, avec l’intention de visiter Karine Blanchette, une de leurs amies. Seul bémol : Julie ignore l’adresse de Karine, et la municipalité aurait récemment banni le téléphone de son territoire.

Pendant leurs recherches, Julie et Hélène croisent une panoplie d’habitants aux moeurs colorées, dont Madame Angèle Pawarpoin, Maître Ouikipèdia, Docteur Foteau-Choppe, Chad Hioutoube, Sophie Flasche, etc.

Et comme les problèmes ne viennent jamais seuls, Julie et Hélène apprennent qu’une tueuse en série fait les manchettes à Saint-Patrice, et qu’elles pourraient se retrouver dans le collimateur de la meurtrière.

Dominic présente une histoire humoristique, avec une touche d’intrigue policière, où les personnages sont des personnifications de sites Web et d’applications ; un concept qui sort clairement de l’ordinaire.

Bienvenue à Spamville

* * *

C’est ça, le projet bizarre dont je vous parlais depuis un moment.

Et je pense qu’il vaut vraiment la peine d’être lu.

« Heille, t’es pas mal modeste, el’gros. »

Non, je niaise pas. Dans ce livre-là, j’y ai mis les bouchées doubles. Je l’ai réécrit je-sais-plus-combien-de-fois. J’ai hurlé (littéralement) devant ce manuscrit que je croyais inachevable. Il m’a tourmenté pendant des années. Et là, y’est fini. Je pensais jamais que ça arriverait.

Si vous avez aimé l’humour de Toi et moi, it’s complicated, le roman Bienvenue à Spamville est définitivement pour vous. J’y passe au crible une panoplie de phénomènes liés à l’informatique, et plus particulièrement à l’Internet, en empruntant l’angle de l’actualité et celui de la nostalgie. La (gentille) moquerie se passe autant dans les personnages qu’à travers les « phénomènes sociaux » dans l’étrange ville qu’est Saint-Patrice-de-l’Ancienne-Montagne.

Et ça, ce n’est que la toile de fond. Je vous jure qu’on n’a pas besoin d’être un crack de l’informatique pour apprécier l’histoire, qui est écrite totalement et délibérément à la manière d’un page turner où TOUT VA TOUJOURS TELLEMENT MAL. Vous êtes averti.

Maintenant, quand est-ce que ça sort, ce livre-là?

On en est pas encore sûrs à 100 %. Au départ, c’était censé être à la fin mars, mais il semblerait que des petits retards soient possibles avec l’imprimeur, donc c’est pas coulé dans le béton.

Disons qu’il va sortir dans « à peu près un mois », et sûrement à temps pour le Salon du livre de Québec.

Je vais vous tenir au courant. Promis.

En attendant la sortie du livre, on pourra jouer à un petit jeu ensemble… On s’en reparle dans le prochain billet.

Soumettre un manuscrit à un éditeur : 5 erreurs à éviter

Vous venez de le terminer, ce manuscrit littéraire sur lequel vous avez investi tant d’heures et de nuits blanches. Terminé. Et ça vous excite, tellement que vous avez envie de danser sur la table de la cuisine. Vous appelez votre mère et vos amis pour leur apprendre que votre grand projet est définitivement FINI et que vous allez enfin soumettre un manuscrit littéraire aux éditeurs. Depuis le temps que vous en rêviez.

Au loin, derrière l’horizon, vous voyez une lueur prometteuse apparaitre : celle d’une glorieuse carrière d’auteur qui va commencer.

Soumettre un manuscrit à un éditeur : 5 erreurs à éviterMoment magique.

OK. Maintenant que vous vous êtes assez extasié, permettez-moi de vous remettre les pieds sur Terre.

Oui, vous l’avez fini, votre manuscrit littéraire. Maintenant, il vous reste à passer l’épreuve finale. C’est l’étape du « ça passe ou ça casse », où l’on pourrait louanger les vertus de votre oeuvre autant qu’on pourrait la rejeter dans l’indifférence la plus totale. Et j’espère sincèrement que votre roman ne connaîtra pas ce dernier dénouement.

Pour vous aider à améliorer vos chances de succès auprès des maisons d’édition, voyons ensemble quelles sont les 5 plus grandes erreurs à commettre au moment de soumettre un manuscrit à un éditeur.

Erreur #1 : Soumettre un manuscrit mal foutu

Je mets cette erreur en premier, car c’est la pire de toutes. C’est rien de moins qu’un péché capital.

Vous êtes écoeurés de le voir, ce manuscrit. Et c’est normal. Vous avez travaillé combien de temps dessus? Des mois? Des années, sûrement? Maintenant, vous n’êtes plus capable d’endurer sa présence.

Alors vous l’envoyez. Même en sachant que l’histoire mériterait d’importantes améliorations. Même si vous n’avez pas pris la peine de la corriger et de l’inspecter avec un logiciel comme Antidote. Parce qu’au fond, c’est l’éditeur qui se charge des corrections. N’est-ce pas?

Erreur.

Bien, en fait, oui, il va en faire, si jamais il décide de vous publier. Sauf que vous n’êtes pas rendu à cette étape (loin de là). N’oubliez pas que votre manuscrit est en processus d’évaluation, et qu’il doit passer le test de la « première impression ».

L’éditeur qui recevra votre histoire médiocre, bourrée de fautes, ne se dira pas : « Hmm. Je vois ici un bon potentiel. Disons oui à cet auteur – tout de suite, pardi! – pour éviter de le perdre au profit de nos compétiteurs. Nous sommes devant un travail de pur génie. »

Non.

Il va le balancer par-dessus son épaule et passer au suivant. Car derrière votre manuscrit, il y en aura des centaines d’autres (et peut-être des milliers), faits par des auteurs qui, eux, auront eu l’intelligence d’envoyer un document impeccable.

Pour éviter cette erreur : Achetez le logiciel Antidote. Corrigez-vous. Faites lire votre manuscrit par un comité de bêta lecteurs et collectez des commentaires pertinents (et évidemment, modifiez votre histoire en vous basant sur les rétroactions). Pour apprendre à bien utiliser Antidote et comment travailler efficacement avec des bêta lecteurs, lisez mon guide Comment écrire plus.

Erreur #2 : Mal cibler vos éditeurs

Je ne connais aucun écrivain qui, lorsqu’il expédie ses manuscrits par la poste, confond ses enveloppes avec des balles de mitraillettes. Aucun écrivain dans mon entourage ne canarde aveuglément les éditeurs avec ses histoires, sans savoir à quoi ces éditeurs s’intéressent.

Et pourtant, quand ils sont interviewés à la radio, les directeurs des grandes maisons d’édition répètent toujours la même chose : de nombreux auteurs leur envoient des manuscrits sans prendre la peine de vérifier ce qui se publie chez eux. Incroyable, n’est-ce pas?

Imaginez un éditeur qui ne fait paraitre que des biographies de personnalités célèbres. Qu’est-ce qu’il ferait d’un manuscrit de science-fiction? Ou d’une maison spécialisée en polar qui recevrait une histoire de chick lit?

Absolument rien.

Ils les enverraient aux poubelles. Parce que c’est là qu’ils doivent aller.

Et ce genre de situation arrive très souvent.

Regardez-moi dans les yeux, cher lecteur, et écoutez-moi bien. Ne faites pas une gaffe aussi grossière. Ce serait trop con. Votre temps est précieux, comme l’est celui des éditeurs.

Pour éviter cette erreur : Informez-vous sur les éditeurs qui vous intéressent avant de leur expédier votre histoire. Regardez sur leur site Web, lisez leurs livres. Faites votre part du travail. Et lisez mon article entièrement consacré à ce sujet.

Amenez votre carrière d'auteur au niveau supérieur - Guides pour les auteurs

Erreur #3 : Essayer d’être créatif sur la police de caractères

Vous avez écrit une histoire de fantastique médiéval, avec des elfes, des dragons et toute la quincaillerie de créatures imaginaires qu’on connait trop bien.

Quoi de plus approprié, alors, que d’utiliser une police de caractères CELTIQUE pour le texte de votre manuscrit? Ben quoi! C’est cohérent avec votre univers. Et ça vous permettra d’être remarqué, non?

En fait, oui. Si vous utilisez une police pleine de belles fioritures, on vous remarquera. Mais pas pour les bonnes raisons. L’éditeur reconnaitra en vous un haut niveau d’amateurisme, et ça commencera mal votre relation.

Saviez-vous qu’une seule police de caractères est admise dans les manuscrit littéraires? Ouais, une seule.

C’est Times New Roman.

Times New Roman, taille 12, plus précisément.

Conformez-vous à cette norme. Pas de caractères celtiques. Et surtout pas de Comic Sans MS.

Pour éviter cette erreur : On va le redire encore une fois. Times New Roman. Douze points. Rien d’autre. Et pour vous assurer de commencer votre manuscrit du bon pied, prenez donc la peine de télécharger mon modèle de base pour manuscrit littéraire au format Word.

Erreur #4 : Utiliser l’interligne simple

Vous voulez économiser du papier (parce que, t’sais, 5 $ du paquet de 500 feuilles, c’est TELLEMENT CHER). Donc, vous décidez d’imprimer votre manuscrit en simple interligne, avec des marges d’un demi-centimètre de chaque côté. Résultat : 200 pages au lieu de 500. Vous êtes si rusé.

Sauf que…

Lorsqu’ils liront votre manuscrit littéraire, les éditeurs voudront généralement inscrire des commentaires entre les lignes de votre histoire. Ils font ça, eux : suggérer des améliorations. Ouais. Et avec votre mise en forme « créative », leur travail va être difficile en diable. Leurs annotations ne pourront même pas loger dans les marges. On vous détestera pour ça.

Première règle pour soumettre un manuscritMieux vaut laisser respirer votre texte. Pensez à ceux qui vous liront. Rappelez-vous que votre manuscrit est un point de départ : c’est grosso modo un outil de travail qui passera entre les mains de plusieurs personnes. Arrangez-vous pour simplifier la vie de chaque intervenant. Ils vous en remercieront.

Pour éviter cette erreur : Utilisez des marges d’environ 4 cm de chaque côté de votre feuille et, surtout, un interlignage approprié. Les maisons d’édition recommandent toujours l’interligne 1,5 ou double sur leurs sites Web. Allez consulter ces spécifications et respectez-les. En cas d’incertitude, choisissez l’interligne double.

Erreur #5 : Soumettre un manuscrit dans le mauvais format

Vous avez bien formaté votre manuscrit (en utilisant Times New Roman et l’interlignage double). Vous l’avez imprimé, relié. Puis vous l’avez déposé dans une boîte postale.

Et là, vous avez attendu un mois. Deux mois. Trois mois. Puis six. Puis huit.

Même après une année complète, toujours aucune nouvelle de leur part.

Et c’est normal, parce que l’éditeur que vous avez ciblé n’acceptait que les soumissions électroniques.

Oups.

Pour éviter cette erreur : Consultez le site Web de l’éditeur. De plus en plus de maisons d’édition ne veulent que des fichiers numériques (dans le but de sauver les forêts, apparemment). C’est le cas? Alors, simplifiez-vous la vie et envoyez votre histoire par courriel. Faites gaffe, cependant : encore aujourd’hui, plusieurs ne jurent encore que par le papier. À vous de vérifier!

Vous voulez apprendre les meilleurs trucs pour soumettre un manuscrit littéraire?

Pour faire bonne impression auprès des éditeurs et augmenter vos chances de réussite, lisez mon livre Présentez votre manuscrit littéraire comme un pro en 5 étapes. Avec ses 80 pages de conseils et d'exemples, vous apprendrez comment concevoir une mise en page impeccable tout en évitant les pires gaffes. Vous y trouverez aussi des trucs pour économiser temps et argent, ainsi que pour bien choisir vos éditeurs. Cliquez ici pour le lire dès aujourd’hui!

« Les derniers jours » franchit la barre des 2500 téléchargements

Les derniers jours, 2500 téléchargements

Je capote! Les derniers jours, le livre d’introduction à ma série Le fléau de Roc-du-Cap, vient d’atteindre les 2500 téléchargements. Et ce qui est le plus surprenant là-dedans : quasiment 99 % de ces téléchargements ont été effectués sur iBooks.

Je dis « surprenant » parce que la plateforme où Alégracia cartonne est définitivement Amazon.fr. Apparemment, pour Le fléau de Roc-du-Cap, c’est chez Apple que ça se passe. Pourquoi? Aucune idée.

Il reste que ce livre permet à de nombreux lecteurs d’avoir un avant-goût de ma nouvelle série, facilement et gratuitement.

N’allez pas penser qu’autant de personnes ont fait le saut vers La nouvelle hantise. Je suis conscient qu’une bonne proportion des gens ayant téléchargé Les derniers jours sont ce qu’on appelle des free hunters, et qu’ils ne dépenseraient pas un sou sur Internet de toute façon. D’autres n’ont sûrement pas aimé mon style d’écriture, et c’est bien correct comme ça. Je n’écris pas pour plaire à tout le monde, et tant mieux si on peut me filtrer sans avoir besoin du portefeuille.

Quand même, de plus en plus de gens sur iBooks continuent l’aventure. C’est motivant!

Dernières mises à jour sur le site

Je suis pas mal occupé cette semaine côté rédaction professionnelle, et ça explique mon silence momentané sur le blogue. C’est dommage, j’étais sur une bonne lancée. Ça reprendra bien dans quelques jours, quand la poussière sera retombée.

J’ai quand même pu faire quelques mises à jour sur le site en grattant quelques minutes, ici et là. Voici les principaux changements :

  • Page du Blogue : Suppression de toutes les publicités Adsense. Il y en avait un tas. Les revenus de ces publicités arrivaient à payer une épicerie complète aux trois mois. Cela dit, ça ralentissait énormément le site, et ça créait beaucoup de « bruit », de sorte qu’en les enlevant, j’ai augmenté mes abonnements à mon infolettre. Un bel échange. J’ai aussi modifié les boutons de partage pour en choisir de plus jolis.
  • Page À propos : Page renommée (s’appelait avant « Qui suis-je? »). Réécriture de la biographie pour la mettre à jour et pour la mettre à la 3e personne. C’est essentiellement la même bio qu’on retrouve à la fin de mes livres.
  • Fiche du roman La nouvelle hantise : Réécriture complète du résumé, selon les techniques de rédaction que j’ai apprises dans les derniers livres de marketing que j’ai lus.
  • Fiche du guide Présentez votre manuscrit littéraire comme un pro en 5 étapes : Nettoyage général de la page pour la rendre plus agréable à consulter. Ajout de quelques critiques.
  • Page Dossier de presse : Ajout d’une courte biographie.
  • Site complet : Ajout d’une « Like Box » de Facebook, au bas de la page. Ne cliquez SURTOUT PAS dessus. (psychologie inverse)

J’en ai aussi profité pour mettre à jour les paratextes de tous mes livres indépendants, entre autres pour m’adapter aux récents changements sur la série Le fléau de Roc-du-Cap. Parce que ces textes invitaient les lecteurs à télécharger des livres qui n’existaient plus, t’sais.

Gagnez une copie de mes nouveaux livres sur Goodreads

Si vous êtes membre de Goodreads, je vous invite à vous inscrire à mes deux « Giveaways » qui viennent de débuter sur le site. En participant, vous pourriez gagner une copie de mes derniers livres, La nouvelle hantise et Présentez votre manuscrit littéraire comme un pro en 5 étapes, au format papier.

Les « Giveaways » sont des tirages que les auteurs et éditeurs peuvent organiser pour obtenir des critiques de la part des membres.

Le tirage sera fait le 22 février. Participez en grand nombre, et bonne chance!

Goodreads Book Giveaway

La nouvelle hantise by Dominic Bellavance

La nouvelle hantise

by Dominic Bellavance

Giveaway ends February 22, 2016.

See the giveaway details
at Goodreads.

Enter Giveaway

Goodreads Book Giveaway

Présentez votre manuscrit littéraire comme un pro en 5 étapes by Dominic Bellavance

Enter Giveaway