Je suis présentement dans un processus de simplification de ma présence sur le Web. J’ai déjà fait beaucoup de changements sur ce blogue, certains peu visibles et d’autres évidents. Je parlerai de quelques-unes de ces modifications plus tard, mais pour l’instant, je voudrais discuter de mes Pages Facebook.
En tout, j’ai 4 pages Facebook liées directement à mes activités d’écrivain. Les voici, en ordre de popularité (selon le nombre de mentions « J’aime ») :
- Toi et moi, it’s complicated (733 mentions « J’aime ») : La page de du roman du même nom.
- Alégracia (291 mentions « J’aime ») : La page de la série Alégracia et, par la bande, du Fléau de Roc-du-Cap.
- Dominic Bellavance (166 mentions « J’aime ») : Ma nouvelle page professionnelle d’auteur.
- Roman-réalité (55 mentions « J’aime ») : Encore une page de roman.
Parmi ces pages, deux ne sont plus mises à jour. Ça ne me dérange donc pas de les éliminer :
Page Facebook de Toi et moi, it’s complicated : De loin ma page la plus populaire. Ça s’explique par deux choses.
De un, le livre a connu un lancement fulgurant sur le Web à cause de la Journée internationale de la relation compliquée, qui avait créé de nombreux remous sur Facebook. Ça m’a donné énormément de visibilité, et plusieurs personnes se sont intéressées au livre par la suite.
De deux, à l’époque où j’ai publié cette page, il existait de nombreuses autres pages de « Communautés » sur Facebook, du genre : « POUR SEUX QUI AIME LES GROS CHARS!!! », qui accumulaient beaucoup de « Likes » juste à cause de leur nom. Je pense que ça a été le cas de la page de Toi et moi, it’s complicated : les gens la rejoignaient sans savoir dans quoi ils s’embarquaient, voulant peut-être signifier à leur douce moitié que leur relation était so-so. En fait, je me demande si 20 % des fans savaient vraiment qu’il s’agissait d’un livre. Aujourd’hui, ça me fait douter de l’importance de ces 733 mentions « J’aime ».
Page Facebook de Roman-Réalité : Ici, je pense que le nombre de fans est composé entièrement de gens intéressés au livre. Mais, il faut l’avouer : le chiffre est assez petit.
Ces deux pages ne sont plus du tout mises à jour. Et c’est normal : en tant qu’auteur, je suis passé à autre chose. Oui, bien sûr, je pourrais essayer de les utiliser pour pousser un peu mes futures publications, mais ce n’est plus la stratégie que je préconise. J’essaie d’être plus utile sur le Web, moins pushy.
Ces pages de romans accumulent de la poussière. Elles me donnent l’air de ne pas m’occuper de mes affaires. Je pense qu’il vaut mieux les fermer.
Là où c’est plus difficile, c’est ici :
Page Facebook d’Alégracia : Bien que cette série soit terminée depuis un moment, j’utilise encore cette plateforme pour parler de la suite, soit Le fléau de Roc-du-Cap. Mais une question revient toujours : lorsque j’ai une nouvelle à annoncer, vaut-il mieux la publier sur la page d’Alégracia ou sur ma page d’auteur? La plupart du temps, je me dis qu’il est préférable de formuler deux messages différentes et de les diffuser séparément aux deux endroits. Mais ça a le désavantage de me prendre le double du temps et d’écoeurer un peu mes abonnés, qui reçoivent alors mes nouvelles en double.
En tant qu’auteur, j’ai l’intention d’écrire pendant encore de nombreuses années, et j’ai l’impression que le seul esapce qui peut grandir avec moi, c’est ma page officielle d’auteur. Peu importe quel livre je vais publier, les lecteurs pourront m’y retrouver. Et je crois qu’il est plus facile pour n’importe qui de m’écrire des messages privés sur ma page d’auteur que sur l’une ou l’autre de mes pages de livre. Ça fait plus personnel. (Beaucoup de personnes utilisent la messagerie des pages depuis quelques mois, c’est très pratique.)
Conséquemment, dans un but de simplification, je ne conserverai que ma page d’auteur, mais en contrepartie, j’essayerai de la garder à jour avec du meilleur contenu.
S’ensuit la prévisible invitation de ma part : si vous voulez suivre mes activités ailleurs que sur ce blogue, je vous invite à aimer ma page d’auteur. Tant qu’à y être, joignez-moi aussi sur Twitter. J’ai l’intention d’injecter un peu de vitamines à ces deux endroits.
Mes pages Alégracia, Roman-réalité et Toi et moi, it’s complicated devraient disparaitre vers la fin mars, le temps que je puisse déplacer mes lecteurs au bon endroit.
Qu’est-ce que vous en pensez? Croyez-vous que je commets une erreur monumentale en essayant de centraliser ma présence sur Facebook?