Comment accepter les cartes de crédit durant un salon artisanal

Aujourd’hui, je vous parle d’outils technologiques.

Durant la pandémie, on a organisé plusieurs salons du livre « maison », comme les salons clandestins et la Caravane littéraire. Durant ces évènements, les auteurs s’installent derrière des tables et présentent leurs livres durant une bonne partie de la journée. Pour effectuer leurs ventes, une majorité prend l’argent comptant seulement. Cold hard cash.

C’est la norme. La plupart des visiteurs en sont conscients et passent au guichet automatique avant d’arriver.

Seulement, en se limitant à l’argent comptant, les écrivains perdent plusieurs occasions de vente. Nombreux sont les visiteurs qui retirent 20 $ ou 40 $ de leur compte en banque, et une fois sur les lieux, aimeraient se faire tenter par des découvertes. (Les petits salons servent à ça.) Ils ont une carte de crédit, mais personne ne l’accepte…

Ce que les écrivains et responsables de kiosques ignorent, c’est qu’accepter les cartes de crédit, c’est vraiment facile. Il suffit d’avoir un téléphone intelligent… et de s’abonner à Square.

Square, c’est conçu pour les gens qui ne sont pas à l’aise avec l’informatique. C’est facile à utiliser, et lorsqu’on s’abonne au service, la compagnie nous envoie un lecteur de carte de crédit qu’on peut brancher à son téléphone intelligent.

Ce petit bidule est gratuit.

Le lecteur de cartes de crédit Square

Une fois qu’on reçoit l’appareil, on installe l’application Square sur son téléphone, on suit les tutoriels, et le tour est joué. On peut se faire payer avec toutes les cartes majeures, dont Visa et Mastercard.

Elle est où, l’attrape?

Il n’y en a pas vraiment. Square va se garder 2,65 % par paiement par carte de crédit, pour des ventes que vous auriez perdues de toute manière. C’est très raisonnable.

N’attendez pas le prochain salon du livre pour vous abonner au service, il va être trop tard. Rendez-vous sur le site de Square et ouvrez-vous un compte.

Accommoder les lecteurs en ce qui concerne les modes de paiement, c’est leur rendre un service.

PS : Je veux être 100 % transparent, et je vous informe que le lien ci-dessus est un lien d’affiliation. Il vous donne un bonus : pour vos premiers 1000 $ de transaction effectués dans 180 jours, aucuns frais ne vous seront facturés (0 % de frais), et il me fait profiter des mêmes avantages. Toutefois, jamais je ne vous recommanderais un service que je n’utilise pas moi-même. Square m’a permis de récupérer plusieurs centaines de dollars en ventes potentiellement « perdues », et c’est un service méconnu auprès des artistes. C’est pourquoi je trouvais pertinent d’en faire le sujet d’un article.

Rencontre virtuelle avec Vic Verdier le 5 octobre 2021

Évènement « Mains moites »

Bonjour à tous!

Je prends un moment pour vous inviter à un évènement en ligne auquel je suis invité, avec mon collègue Vic Verdier.

C’est une rencontre sous forme de webinaire où l’on parlera de nos derniers livres dans la collection « Un roman dont vous êtes la victime ».

(C’est écrit « Bibliothèques de Saint-Jérôme », mais on m’a assuré que n’importe qui avec une connexion Internet peut s’inscrire.)

D’ailleurs, justement, il faut s’inscrire pour participer.

C’est gratuit, on fera ça par Zoom, on devrait avoir ben du fun.

On s’y voit?

Éliminer les répétitions de vocabulaire… à l’oeil nu?

Rechercher et éliminer les répétitions de mots dans un texte, c’est pas le travail le plus passionnant. (Ça dépend pour qui, vous me direz.)

Autrefois, je les repérais à l’oeil nu. Je passais plusieurs heures à scruter mes pages à la loupe pour trouver quand ça accrochait, quand le même mot rebondissait plusieurs fois dans des paragraphes subséquents. Je reformulais ensuite mes phrases en conséquence. Tout devait bien couler.

Ça m’a entraîné l’oeil. Aujourd’hui, je suis capable d’attraper la plupart des répétitions durant le premier jet, avant qu’ils infectent mon roman, mais le résultat est loin d’être parfait. Ça prend des révisions additionnelles.

C’est là qu’Antidote entre en jeu.

J’en ai parlé abondamment dans Comment écrire plus, mais je le redis ici : ne vous passez pas des meilleurs outils pour travailler.

Je relis mon texte. Plusieurs fois. Mais au moment d’investir du temps spécifiquement pour trouver des répétitions, je passe mon roman sous le correcteur d’Antidote. Le logiciel met en évidence les mots similaires qui cohabitent dans la même page, et je peux concentrer mes efforts sur la recherche de synonymes.

Voyez comment l’élimination des répétitions fonctionne sous ce logiciel.

Je prends la peine d’en parler, car je viens de terminer cette étape dans mon manuscrit. Et je sais que bien des auteurs boudent les outils technologiques comme celui-là.

Je veux dire… Come on.

Vous ne trouvez pas qu’écrire un livre est déjà assez difficile comme ça?