… pense au moins à ces gens qui, dans certains pays, meurent chaque jour pour obtenir le droit dont tu te câlisses.
J’espère que tu te sens cheap.
… pense au moins à ces gens qui, dans certains pays, meurent chaque jour pour obtenir le droit dont tu te câlisses.
J’espère que tu te sens cheap.
La rédaction sur le Web ne ressemble aucunement à l’écriture littéraire.
Lorsqu’un lecteur se tape votre roman, il est assis dans son sofa et se consacre à votre texte, à 100 % (on l’espère). Il est concentré et n’aura aucune difficulté à pénétrer dans votre univers, à décoder votre style ou à comprendre les rouages de votre intrigue.
Pour un article sur le Web, c’est différent.
Votre lecteur lira votre billet entre deux autres textes. Il sera dérangé par ses onglets, sa musique, le jeu qu’il a mis en attente ou des vidéos YouTube sur pause. Son attention sera diluée par le phénomène multitasking, omniprésent.
De plus, la lecture à l’écran épuisera son œil plus rapidement que sur le papier. C’est pourquoi, sur le Web, il est préférable d’ajuster son style en conséquence.
Voici quelques trucs pour être plus efficaces sur les médias en ligne :
Et vous? Avez-vous des trucs à partager?
Avant-hier, j’ai eu une agréable surprise en recevant un courriel de Christian Sauvé.
Il m’apprenait que ma novella Sintara et le Scarabée de Mechaeom était en nomination pour un Prix Aurora cette année. Je dis « surprise », car avant de remplir mon bulletin de mise en nomination, j’avais oublié que j’avais publié une oeuvre admissible en 2010 (toute mon attention était tournée vers Toi et moi, it’s complicated, on dirait). Je remercie donc ceux qui ont choisi mon livre.
Les votes finaux se feront durant le congrès Boréal qui se déroulera du 13 au 15 mai 2011. Vous pouvez consulter la liste complète des finalistes.
D’ici là, je vais à lire quelques œuvres en nomination pour faire un choix éclairé, en commençant par la Tueuse de dragons d’Héloïse Côté.
Mise à jour : J’offre l’opportunité aux congressistes de commander mon livre en ligne au coût de 5 $, livraison incluse. Vous n’avez qu’à utiliser le bouton ci-dessous :
Mise à jour 2 : Je viens de voir que Gabrielle Leblanc et aussi en nomination pour avoir réalisé la couverture du livre, entre autres.
Durant le Salon du livre de Québec, j’ai eu la date quasi officielle de la sortie de mon prochain roman.
Il est encore tôt pour tout révéler. Mais attendez-vous à recevoir des nouvelles dans les prochains… jours? Prochaines semaines?
Aussi, quand j’ai quitté ma table de signatures ce dimanche, il restait seulement 3 copies de Toi et moi, it’s complicated au kiosque de Coups de tête. J’étais rarement assis pour signer (et donc pour vendre), et c’est signe que le bouche à oreille a fait son chemin. L’écrivain dit merci à ceux qui ont parlé du livre à leurs proches.
Mes salons sont finis pour le printemps. Aujourd’hui, je me la coule douce en lisant quelques-uns de mes achats. Faut bien se reposer, des fois.
Les achats en question :
On vient de m’inviter pour participer à une émission de radio en direct du Salon du livre de Québec. Le sujet du jour sera : « Prêter un livre, c’est bien ou c’est mal? »
Pour entendre mon opinion sur la chose, syntonisez votre radio vendredi matin au 106,3 FM à 7 h 35.
J’ai l’impression qu’on va également y parler d’une idée que j’avais lancée autrefois, soit celle d’offrir du pourboire aux auteurs.
Je déteste bloguer sur un netbook. Le clavier est trop petit, l’écran aussi. Et j’aime encore moins écrire sur ces mini-ordinateurs lents et peu pratiques.
L’ordinateur que j’ai acheté ne remplit pas ces fonctions, finalement. J’aurais dû opter pour un 15 pouces.
(j’avais choisi la légèreté, mais maintenant j’ai une voiture pour transporter la machine)
C’est pourquoi je n’ai pas blogué en direct du Salon du livre d’Edmundston. Je me rattrape donc dans le confort de mon bureau.
Journée assez remplie. J’ai rencontré deux groupes à la Cité Des Jeunes A. M. Sormany (l’école secondaire où se déroulait le salon). Ça s’est bien passé, malgré le fait que ma télécommande pour mon PowerPoint ait manqué de batteries au milieu de ma conférence.
Au moins, j’avais apporté des réserves.
D’ailleurs, quand j’ai publié la photo ci-dessus sur Twitter, deux personnes m’ont traité de hipster en faisant référence au film American Beauty. Je ne suis pas encore certain de comprendre…
J’ai fait deux séances de signatures le soir, entrecoupées par la cérémonie d’ouverture officielle du salon. Fait cocasse : un des sous-ministres (je suis pas sûr) a fait un discours en français, suivi du même discours en anglais. Ça a provoqué des haussements de sourcils dans la salle.
Voyez-vous, les Acadiens d’Edmundston considèrent le salon du livre comme une manière de défendre le français dans leur région. Malaise.
J’avais une séance de signatures de 19 h à 20 h seulement. J’ai donc végété dans ma chambre d’hôtel à lire Mockingjay et à boire du café.
C’était le fun.
En après-midi, Jonathan est passé à l’hôtel, puisqu’il revenait de faire une série de conférences dans un village, à une heure et demie de route.
Le soir, j’étais supposé aller veiller, mais j’étais trop « pantoufle » pour quitter la chambre. Je deviens, lentement, un mononcle paresseux. Honte à moi.
Le matin, j’ai fait la première entrevue au salon du livre. Souvent, à la première entrevue, personne est là pour t’écouter.
Y’avait donc personne.
J’ai quand même eu du plaisir à jaser de Toi et moi, it’s complicated avec l’intervieweuse. J’aime quand les gens sont préparés avant une rencontre.
Ensuite, je me suis assis pour une dernière séance de signatures puis j’ai repris la route vers la province de Québec.
Comme toujours, un merveilleux salon rempli de belles rencontres, de lecteurs et d’accent Acadien. Je remercie Valérie Hachey pour l’invitation et toute l’équipe pour avoir organisé l’évènement de façon exemplaire.
Je serai au Salon du livre de Québec de jeudi à dimanche. Voici mes heures de signatures :
Pour le roman Toi et moi, it’s complicated (kiosque 601) :
Pour Sintara et le Scarabée de Mechaeom (kiosque 313) :
On vous y attend en grand nombre!