Salon du livre d’Edmundston — Jour 0 (suite et fin)

Hier, je suis arrivé à Edmundston aux alentours de 16 h. Mon GPS m’avertissait que j’arriverais exactement à 16 h 20, alors qu’il était 15 h et qu’il me restait seulement 20 minutes de routes.

Hmm.

Je ne comprenais rien, jusqu’au moment où j’ai fini par allumer : mon GPS a tenu compte de l’heure des maritimes.

À l’hôtel, Jonathan Reynolds venait d’arriver. Première chose qu’on a faite : se garrocher dans le spaaaaAAAAAAaaaaah!

Y’a tellement de chlore là-dedans. Avant que j’embarque, mon costume de bain était bleu.

En sortant, on avait faim.

Mission #1 : trouver de la bouffe

On tenait à retourner au même restaurant qu’on avait visité l’an passé. Ça s’appelait le Costigan et on avait mangé comme des cochons avec Guillaume Houle.

Malheureusement, comme ça doit parfois arriver dans les villes de moyenne envergure, le Costigan est disparu au profit d’une boîte de design Web, ou j’sais-pas-trop-quoi.

WTF?

Mission #1 : FAIL

On a réussi à se gaver dans un buffet de fruits de mer.

Jonathan qui considère une fraise.

Ensuite, ben, on avait soif.

Mission #2 : trouver de la bière

On en a cherché partout. Constat : y’en a nulle part. Même le dépanneur simili-Couche-Tard servait juste des boissons gazeuses. On n’y comprenait rien.

À bout de souffle, Jonathan s’est informé auprès d’un résident.

Il paraît qu’ici, au Nouveau-Brunswick, seule la Société des alcools a le droit de vendre des boissons alcooliques. Ouin. Et ça inclut la bière qui se vend à prix exorbitant. (les habitants d’Edmundston vont acheter leur bière au Québec, même si c’est à 20 minutes de route)

Mission #2 : FAIL

On est revenus, pis on s’est pas couchés tard. So much for the party animals.

Salon du livre d’Edmundston 2011 – Jour 0

Avant de partir pour Edmundston, j’ai préparé un petit présentoir avec un code QR pour permettre aux visiteurs de visualiser la capsule vidéo de Toi et moi, it’s complicated.

Je tâte le pouls. Je sais que les codes QR en sont encore au stade larvaire. On en affiche quelques fois dans les publicités à l’intérieur des autobus ou même dans la présente campagne électorale.

Vous pouvez parier sur le nombre de personnes qui vont l’utiliser devant moi. Pour ma part, je vote pour 0 (pessimiste, mais réaliste). Je vous fournirai le total à mon retour.

Salon du livre d’Edmundston 2011

Demain, et pour une deuxième année consécutive, je pars pour la province du Nouveau-Brunswick en vue de participer au Salon du livre d’Edmundston. J’y serai jusqu’à samedi après-midi.

Pour ceux qui veulent une griffe de l’auteur dans leur copie de Toi et moi, it’s complicated ou d’Alégracia, passez me voir aux heures suivantes :

  • Jeudi : 15 h à 17 h; 18 h à 19 h
  • Vendredi : 19 h à 20 h
  • Samedi : 14 h à 15 h 30

Je ne me souviens plus exactement si l’hôtel nous fournissait un accès à Internet. Si oui, c’est possible que je blogue en direct de là-bas comme l’année dernière.

Enfin… j’imagine qu’ils l’ont. Si j’ai blogué en 2010, ce serait juste logique.

Bulgaboom — À paraître en septembre 2011

«  — Bulgaboom!

— T’as ben raison, l’grand. »

Après avoir chassé Déraniro Mascuvio du Continent-Coloré, l’Arcaporal Smithen et son compagnon Bulgaboom hissent les voiles pour se rendre au Drakanitt Oriental, cette soi-disant terre aux infinies promesses.

À leur arrivée, et malgré leurs attentes, ils débarquent dans une cité déchirée par la crise. Les gens fuient. Le roi Docène met la ville en quarantaine. Le monarque a tout à craindre : la forêt voisine est infestée par des créatures humanoïdes aux oreilles pointues qui forment, en secret, une armée d’archers et de tree huggers.

Les elfes sont de retour. Sortez les explosifs.

Après avoir raconté les aventures d’Alégracia, Dominic Bellavance revient dans l’univers du Continent-Coloré et du Drakanitt avec trois tonnes de TNT. Les hippies n’ont qu’à bien se tenir.

Pour obtenir de plus amples informations sur cette publication, consultez la page officielle du livre.