Dernières modifications aux sections de ce blogue

N’ayant aucun manuscrit à retravailler depuis les 48 dernières heures (tristesse), je me suis rabattu sur l’entretien de ce blogue. Je tenais une liste de modifications à faire depuis quelques semaines.

Quand j’ai décidé de me mettre les mains à la pâte, hier matin, la loi de Murphy m’a frappé en pleine gueule : le site plantait aux 5 minutes. Serveur instable. Ma patience a été mise à l’épreuve.

Il fallait que ça arrive ce jour-là.

J’ai atteint le point fatidique où je me visualisais en train de balancer mon écran par la fenêtre. Au lieu de m’exécuter, j’ai reporté les travaux jusqu’au lendemain.

Ah! sagesse, quand tu nous tiens.

Principaux changements effectués

  • Suppression de la section « Évènements » (le calendrier reste néanmoins disponible dans la barre latérale);
  • Retour de la section Conférences;
  • Ajout de deux conférences sur des pages distinctes : Non, pas facile le métier d’artiste! et Boite à outils pour apprentis écrivains, avec des PDF téléchargeables pour chacune;
  • Réfection de la section Romans pour voir les couvertures des livres, plutôt qu’une liste à puces avec des titres;
  • Ajout du dossier de presse de Toi et moi, it’s complicated téléchargeable en PDF (3.4 mo) dans les sections Critiques et Pour les médias (blogueurs sélectionnés, si vous désirez que j’enlève votre critique du document, faites-moi signe);
  • Ajout d’un fil d’Ariane en haut de chaque page (pour ceux qui ignorent c’est quoi, c’est la hiérarchie de navigation, ex. : « Accueil > Mes romans > Toi et moi, it’s complicated »);
  • Ajout du lien vers ma page Facebook en haut du site;
  • Création d’une icône spécialement conçue pour le iPhone (et si vous ajoutez le site à votre écran d’accueil, c’est beau-beau-beau);

Une visite à la librairie Vaugeois

La semaine dernière, en allant souper au Cochon Dingue sur la rue Maguire, je me suis arrêté à la librairie Vaugeois pour acheter le recueil Cherchez la femme.

J’ai passé quelques fois devant cette boutique sans jamais y entrer. En général, j’évite de m’aventurer dans les petites librairies; j’ai souvent l’impression que les libraires jugent mes choix. Et j’ai aussi l’impression de les déranger. Certains me font de gros yeux à mon arrivée… peut-être qu’ils trouvent que je m’habille comme un va-nu-pieds.

Chez Vaugeois, c’était l’inverse.

Dès le moment où j’ai franchi le seuil, je me suis senti à l’aise. Allez savoir pourquoi. Je ne crois pas que les étagères étaient disposées autrement qu’ailleurs. Non, d’après moi, la différence venait des employés.

En me rapprochant de la caisse, Marie-Hélène Vaugeois (la propriétaire?) m’a salué et m’a offert 2 copies de la revue Le libraire (que j’ai lues cette semaine en déjeunant) ainsi qu’un recueil de nouvelles gratuit. Elle m’a aussi piqué une jasette fort agréable.

Pour la première fois ou presque, j’ai apprécié ce contact humain avec le libraire, aspect qui est si souvent vanté par ces boutiques (pour concurrencer les Archambault et Renaud-Bray de cette province, apparemment plus froids). Dans les faits, j’ai rarement eu cette impression.

Bref, en sortant de la librairie Vaugeois, je me suis dit : « Wow! Va falloir que j’en parle. » Alors, voilà : j’en parle.

Coquetterie : nouvel en-tête pour ce blogue

Et remarquez là où c’est écrit : « écrire ou vivre, mais pas les deux ». Car oui, ces temps-ci, l’écriture et moi, it’s complicated. J’ai l’impression de m’enliser dans des cycles de révision perpétuels. Ça n’a jamais de fin. Jamais.

Questions qui me sont venues (et revenues) à l’esprit aujourd’hui :

  • à force de rester collé à mon clavier pour écrire, est-ce que je passe à côté de quelque chose d’important (genre, vivre ma vie en général, dans la société)?
  • et si j’arrêtais d’écrire, est-ce que ma tête exploserait comme une grosse boule de pus à force d’accumuler des histoires non racontées?

Alors, au lieu de laisser ce dilemme me tarauder l’esprit, j’ai préféré coller cette phrase comme une enseigne, en haut de ce blogue.

Ça me soulage à moitié.

Les réseaux sociaux ne sont pas une panacée pour l’écrivain

Je me suis surpris moi-même, durant ma conférence à l’Université Laval, vendredi dernier, de ne pas avoir parlé (ou presque) des réseaux sociaux.

D’abord, une des conférencières du matin avait abordé le sujet en profondeur; je ne voulais pas répéter ses propos. Mais je considère aussi, pour l’écrivain, que Facebook et Twitter sont loin d’être une réponse à tous les problèmes.

Vous le savez, entretenir les réseaux sociaux devient une activité chronophage si on oublie de s’imposer des limites. Il convient de se demander si ces heures ne seraient pas mieux investies dans des stratégies plus rentables comme :

  • les efforts pour apparaitre dans les médias traditionnels (télé, radio, journaux, etc.); mais surtout
  • l’écriture de ses livres.

Pourquoi je dis cela? Je me suis rendu compte que la plupart de mes auteurs préférés n’ont aucun compte Twitter ou Facebook. Ça ne les empêche pas d’avoir du succès à l’international.

La raison est simple : leurs livres sont excellents.

Dans cette optique, il faut voir les réseaux sociaux comme de l’eau supplémentaire dans « l’arrosoir marketing » qui nourrit une graine (l’oeuvre). L’idée est d’appuyer ses efforts promotionnels sur un travail de qualité pour rentabiliser vos efforts. Souvenez-vous que :

  • si votre graine est pourrie, elle restera sous terre, peu importe le nombre d’heures que vous investirez sur les médias sociaux;
  • si votre graine est forte, elle poussera, même si elle est nourrie seulement par l’eau de pluie (métaphore poche pour signifier « le bouche à oreilles »).

Dans le deuxième cas, bien sûr, l’arrosoir peut aider.

Cela dit, utilisez les médias sociaux pour le plaisir et pour vous promouvoir, mais ne vous attendez pas à vous transformer en star avec Facebook et Twitter uniquement. Misez d’abord sur vos livres. Ce sera plus payant.

Note : bien sûr, le terme « qualité » en littérature peut prendre plusieurs sens. À vous d’en faire votre propre interprétation.

Vous désirez en savoir plus?

Consultez mon article intitulé 100 trucs pour faire la promotion de vos livres. Ce dossier complet vous enseignera les bonnes bases en marketing et vous donnera les outils nécessaires pour mener à bien votre campagne. Lisez-le gratuitement en cliquant ici!

Retour de ma page professionnelle sur Facebook

Je suis plutôt tranquille ces temps-ci sur les réseaux sociaux. C’est surtout parce que je travaille sur les dernières révisions de mes deux publications prévues pour 2011.

Pour me préparer au lancement de ces livres, je me suis (re)créé une page professionnelle sur Facebook en vue d’y publier quelques annonces, de temps en temps. Ne vous en faites pas, je ne suis pas du genre à écrire : « Enfin 1990 fans! Plus que 10 pour atteindre le 2000!!!! » ou encore « Dites à vos amis d’aimer cette page, vite vite vite!! » Non. Je déteste le méta.

J’y mettrai plutôt des détails quant à mes heures de signatures, mes présences dans les librairies et autres activités du genre.

Pratique pour ceux qui n’utilisent pas (ou n’utilisent plus) les fils RSS.

La fin définitive de tiTexte.net

Vous vous souvenez de tiTexte.net? C’est un site de création littéraire en ligne que j’avais créé aux alentours de 2008 (en tout cas, c’est ce que ma page Wikipédia dit, ça doit être vrai).

Depuis juin 2009, j’avais cessé de supporter le site pour diverses raisons, dont le fait que ma boite à courriel se remplissait de messages haineux et de demandes chaque semaine. L’égo des artistes a gonflé puis a explosé. J’en avais marre, je suis parti.

J’ai renouvelé le nom de domaine l’an passé parce que certains visiteurs fréquentaient encore le site. Mais cette année, c’est plutôt désert.

Février s’en vient et j’annonce que je n’ai pas l’intention de renouveler cette année. Le site fermera donc définitivement ses portes le 12 février prochain. Si vous aviez publié des textes sur tiTexte.net et n’avez conservé aucune copie locale, ce serait le moment idéal pour aller faire un peu de copier-coller.