Mes signets pour l’automne

Ce qui est commode, quand je commande quelque chose sur Vistaprint.ca, je peux inclure pleins de trucs gratuits si j’achète pour 30 $. J’en ai donc profité pour mettre mes signets à jour.

J’ai testé plusieurs formats de publicité « papier » durant les derniers salons du livre, entre autres les « cartes postales » promotionnelles et les aimants de frigo. Je constate, en général, que les gens ne s’intéressent ni à l’un ni à l’autre. Dans un salon du livre, le roi, c’est le bon vieux signet.

Le problème est que le format « signet » est inexistant Vistaprint. Je dois donc commander des cartes postales géantes sur lesquelles apparaitront 3 ou 4 signets, que je couperai ensuite au massicot.

De l’artisanat, vous dites? Peut-être, mais de cette façon, les couts frôlent le 0 $.

En faisant la refonte de DominicBellavance.com, mon premier objectif était de centraliser ma présence sur le Web à un seul endroit. La plupart de mes cartons publicitaires affichaient « Rendez-vous sur Alégracia.com pour avoir plus d’information… » alors que le site est maintenant fermé. D’autres pointaient vers la page Facebook de Toi et moi, it’s complicated. Si je me fie à mes nouveaux objectifs, ces cartons sont devenus inadéquats.

D’ailleurs, comme les livres de la série Alégracia sont presque épuisés, j’ai choisi de me concentrer sur Toi et moi, it’s complicated.

J’ai cherché une nouvelle idée, quelque chose d’accrocheur.

L’autre jour, j’ai contacté une blogueuse assez connue pour lui proposer une entrevue sur son site. Très courtoise, elle m’a répondu le jour même et m’a expliqué son refus en disant, entre autres :

Je m’efforce de détruire les mythes qui entourent [les réseaux sociaux] plutôt que de les alimenter.

Je doute qu’elle ait lu mon livre. Est-ce donc parce qu’une fiction traite des réseaux sociaux qu’elle alimente assurément les mythes? Je peux comprendre son point de vue; mon personnage principal éprouve de sérieuses difficultés avec Facebook et se met dans le pétrin à cause d’Internet. Lorsqu’on tient un blogue sur le sujet, normalement, c’est pour éduquer la population, pour éviter que la situation de Daniel dans Toi et moi, it’s complicated se reproduise dans la vraie vie.

Quand même… j’aimais l’idée qui se cachait derrière ça.

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De la mise au rancart des dictionnaires

Mes dictionnaires les plus consultés

Depuis que j’ai acheté Antidote, je consulte beaucoup moins mes dictionnaires « papier ». Je fais ça pour économiser du temps. Je me dis : pourquoi feuilleter le Robert alors que je peux avoir la définition d’un mot en un clic?

J’ai réalisé qu’autrefois, je tirais surtout mon plaisir d’écrire en feuilletant ces ouvrages de référence.

Devrais-je donc accepter de perdre quelques précieuses minutes et mettre Antidote de côté?

Peut-être.

Trouver un mot riche qui convient à une situation particulière, ça procure une vraie satisfaction. Si j’ouvre moins le dictionnaire aujourd’hui, c’est peut-être parce que j’essaie de privilégier les mots simples et clairs dans mes récits. Un simple choix d’auteur. Hemingway procédait de la même façon, après tout.

Mais j’ai souvent l’impression de passer à côté de quelque chose. Non pas des mots compliqués, mais juste… d’autres mots. D’autres idées.

Antidote sert à bien des choses. Le logiciel est bon pour les définitions, les synonymes, les antonymes et les citations. Côté analogique, c’est très ordinaire. Rien n’est expliqué, on nous sert des mots sans trop savoir quelles raisons ont justifié ces choix.

Pour trouver des idées, j’ai recommencé à consulter mon dictionnaire analogique « papier », ainsi que mon Thésaurus de Larousse. Ce dernier ouvrage est magnifique. Il ne peut pas se séparer de sa forme en papier, car sa richesse se déploie justement lorsqu’on le feuillette. Ceux qui en possèdent un savent de quoi je parle. On n’y retrouve pas un stupide tri alphabétique; ce sont les thèmes qui se côtoient. Et lorsqu’on l’ouvre, on veut s’enrichir sur des thèmes.

Je vais essayer d’y recourir plus souvent, à l’avenir. Ça fait du bien.

Alégracia.com : la fin d’une ère

Après 8 années d’existence, Alégracia.com doit fermer ses portes. Ce site était programmé en ASP, il devait donc être hébergé sous Windows alors que mes autres sites sont rassemblés sur un serveur Linux. Je devais débourser un montant mensuel supplémentaire pour soutenir Alégracia.com à lui seul.

Comme les livres de la série sont pratiquement épuisés, la location de cet espace n’est plus vraiment rentable.

Un message d’au revoir restera en place un certain temps.

Au Renaud-Bray de Laurier Québec en fin de semaine

Ça fait longtemps que je n’ai pas fait de séance de signatures. La dernière fois, je pense, c’était à l’Imaginaire, et j’ai manqué de copies d’Alégracia et le Serpent d’Argent. Ça fait partie des choses dont j’ai dû être confronté plusieurs fois durant ma carrière. Faut faire avec.

En fin de semaine, je serai au Renaud-Bray de Laurier Québec pour présenter Toi et moi, it’s complicated et Sintara et le Scarabée de Mechaeom, s’ils ont ce dernier titre en stock. L’évènement aura lieu le samedi 10 juillet de 13h à 16h, comme en témoigne la colonne de droite.

Ils annoncent des orages pour cette date. Tant mieux.

D’ailleurs, j’en profite pour rappeler que le spécial pour la série complète d’Alégracia à 45 $ est toujours en vigueur. Il en reste seulement deux à offrir, alors ce sera : premiers arrivés, premiers servis.