Après une journée de réécriture, j’ai eu le temps de corriger le quart de Caressez-moi. Le travail avance vite pour trois raisons : Le livre n’est pas aussi long que mes oeuvres précédentes; J’ai mieux soigné mon premier jet; Le
Ce qui nous attire dans l’écriture
L’autre jour, alors que j’étais assis sur le balcon de mes parents avec mon portable sur mes genoux, je me suis posé une question importante : « Qu’est-ce qui m’attire vraiment, dans le fait d’écrire? » C’est important d’y répondre,
Version allongée finie
Je viens tout juste de terminer la 2e version de Caressez-moi. J’ai fait passer le document de 200 000 signes à 250 000 signes (+25%). Ça devrait être suffisant. J’ai quand même laissé une petite ouverture, à la fin, pour
Basculer des vacances vers le mode actif
L’été pluvieux se termine. Un été comme ça, c’est mauvais pour l’humeur mais bon pour le travail (en considérant, évidemment, que le travail n’est pas influencé par l’humeur). L’écriture intensive, les salons du livre, les lancements, les séances de signatures,
Trop court
Un deuxième commentaire complet vient de rentrer pour Caressez-moi. C’est maintenant officiel : le livre sera allongé d’environ 5000 mots puisque la remarque sur la longueur est revenue, formulée pratiquement dans les mêmes mots. Outre ce problème, le concept a
Faute redondante
C’est immanquable. Chaque fois que j’écris le mot anecdote, je l’écris involontairement anectode et puis je corrige. On dirait que mon cerveau a un défaut de fabrication.