Depuis aujourd’hui, le projet Caressez-moi est officiellement renommé Mes pieds dans tes lettres. Ce dernier titre a beaucoup plus de signification par rapport à la nature antilittéraire du livre et – Amy avait raison – ça fait beaucoup moins « Harlequin ».
Le site officiel restera au www.caressez-moi.com jusqu’à nouvel ordre. J’ai pas envie de payer 10 $ et me taper un redesign de site pour rien.
Je les changerai quand un éditeur dira : « oui ».
Changement de nom
Le lien vers le site à renommer ne fonctionne pas…
Merci pour la remarque! Après vérification, je crois que c’est une erreur interne sur le serveur qui devrait être corrigée dans la journée. Le site marchait très bien ce matin et je n’ai fait aucune modification depuis.
Voilà, c’est déjà revenu.
J’aime vraiment le nouveau titre. En effet, Caressez-moi pouvait porter à confusion …
J’aime beaucoup ton titre.
Juste un petit commentaire comme ça… je reçois sur mon « feedreader » les commentaires des messages avant les messages eux même… Je me demandais si j’étais la seule à qui ça arrivait.
Je pense que ça dépend surtout du feedreader. De la fréquence à laquelle il met à jour les fils RSS.
Le tire précédent pouvait en effet prêter à confusion, à tel point que cela semblait intentionnel.
La polysémie n’est pas interdite en littérature, n’est-ce pas ?
Cela dit, le nouveau n’est pas mal non plus dans le genre.
S’agit-il de donner un coup de pied au culte des classiques pour réveiller le lecteur assoupi ?
Pas tout à fait. Ou peut-être. Chaque lecteur y verra une signification propre à lui. Mais encore, puisque ce livre est un hommage à l’insignifiance, peut-être qu’il en ressortira avec un grand vide spirituel.
Ce n’était pas une critique, bien au contraire.
> Chaque lecteur y verra une signification propre à lui.
De toute façon, on n’a pas encore trouvé le moyen d’empêcher le lecteur de ne rien comprendre qu’à sa tête. Il faut s’y résigner.
> Mais encore, puisque ce livre est un hommage à l’insignifiance, peut-être qu’il en ressortira avec un grand vide spirituel.
Je me méfie surtout des écrits qui prétendent ne pas être spirituellement vides. Il ne fait pas négliger l’aspect ludique de la lecture et de l’écriture – à mon humble avis.
Je ne l’avais pas pris comme une critique ;) C’est vraiment l’objectif du livre. Comme il est construit comme une téléréalité à saveur littéraire, on peut difficilement ignorer l’aspect « insignifiance » de la chose.
Et quand j’employais l’expression « antilittéraire », c’est surtout pour montrer, par exemple, qu’un inconditionnel de Proust ou Balzac vomirait à pleine gueule dans ces pages.
Faudra un éditeur qui comprend ça.
Je ne suis inconditionnel de rien, mais amateur respectueux de mes classiques, parmi lesquels Proust et surtout Balzac. Ayant l’estomac fragile, je suis inquiet. Mais je tenterai l’aventure si j’en ai l’occasion.
Ce n’est pas mal d’être un peu iconoclaste, mais savoir apprécier nos prédécesseurs n’est pas interdit non plus… :-)