Quand je suis assis à mon bureau et que je n’ai pas envie de travailler, il m’arrive de rêver à un monde idéal. Celui-là n’existera peut-être jamais. C’est la raison d’être des fantasmes… ils sont quasi inatteignables, on n’en verra probablement jamais les couleurs de notre vivant. Mais l’inverse n’est pas impossible non plus.
Dans mon monde idéal :
Annabelle Arseneault vend des t-shirts à l’image du Corrupteur, sur internet. Les affaires roulent. Ses… Lire la suite
Ashley découvre des cartes enchantées qui détiennent le pouvoir de réaliser des vœux. Lorsqu’elle tente… Lire la suite
Traversez les frontières du désir avec Fantasmes, une collection audacieuse et provocatrice de récits qui… Lire la suite
Après 2 ans à reporter le projet encore et encore (quand t'as des livres à… Lire la suite
La Caravane littéraire reprend la route cet automne! Cette fois, elle étend son territoire en… Lire la suite
Combien de fois ai-je entendu les auteurs se demander s'ils devaient avoir un site officiel?… Lire la suite
Voir les commentaires
Le système de subventions pour les éditeurs a un effet pervers: il y a de plus en plus d'éditeurs, donc de plus en plus de livres. Malheureusement, ce n'est pas parce que l'offre culturelle est majorée que la demande culturelle suit la vague.
J'ajouterais, dans ta liste, que les éditeurs québécois comprennent qu'ils doivent prévoir, dans les dépenses, dès le départ, un budget de promotion pour promouvoir le livre auprès de certaines clientèles qui ne vont pas en librairie.
J'ajouterais aussi que dans le monde parfait, les chroniqueurs québécois de littérature parlent de littérature québécoise, et non pas toujours d'auteurs suédois, américains ou (insérer ici le nom d'un pays exotique).
En fait, plusieurs acteurs du milieu disent que l'offre excède largement la demande. Problème au niveau économique et culturel.
Je n'ai qu'une solution : Mathieu, il faut qu'on cesse d'écrire.
Bonjour Dominic, je suis relativement nouvelle dans le milieu, mais il y a un certain temps déjà que je lis ton blogue. :-)
Dans un monde idéal, il y aurait des subventions pour que les gens puissent travailler seulement 30 heures par semaine et consacrer au moins 10 heures à la lecture.
Je suis d'un naturel optimiste : il ne faut pas cesser d'écrire, il faut que les gens lisent plus !
On edans un monde où tout est trop facile. Pourquoi lire un livre quand on peut le voir à la télé... avec Rémi Girard, Hélène Bourgeois-leclerc, ou tout autre qu'on voit trop partout? Voyons.
Je fais rire mes collègues qui me voit toujours un livre a la main, et qui sont déciuragées que je ne connaisse rien aux intrigues de la télé." Je suis trop impatiente pour patienter une semaine pour savoir la fin. D'ici 3 jours j'aurais le fin mot de mon histoire", que je leur dis... Ça leur cloue le bec.
J'étais d'accord jusqu'à la fin... Pas d'Internet!?!?!?
Et faudrait fouiller dans des tonnes de livres à chaque fois qu'on se pose une question?
Allons, soyons sérieux : y'a juste Facebook et Twitter qu'il faut éliminer.
Gen : Faudrait que Wikipédia existe sous forme de livre.