J’ai reçu mon premier refus pour Caressez-moi.
Habituellement, quand on reçoit une réponse aussi rapidement, c’est très très mauvais signe. On pourrait se demander si le tapuscrit a passé le test de la première page.
Seulement, le contenu de la lettre m’a laissé perplexe. Je ne m’attendais pas du tout à ce commentaire. Je cite :
Tous les membres de notre comité de lecture ont été sensibles à la pertinence de ce texte, mais, en dépit de cet aspect, notre service commercial a évalué que le seuil de rentabilité serait trop difficile à atteindre par rapport à l’espérance de vente.
C’est peut-être un canevas. Mais probablement pas. Dans ce cas éventuel, c’est bon signe : les membres du comité de lecture auraient « tous » aimé le texte.
Voyons ça du bon côté.
Peut-être est-ce ton concept général, assez novateur. qui les aura effrayé ?
N’empêche, oui, ne désespère pas, tu trouveras bien preneur !
Tu l’as envoyé au Marchand de Feuilles? Me semble que ça serait leur genre!!!!
Salut Dominic ! Mince alors, voilà que ces gens parlent de rentabilité ! le fric, le fric, quel meneur de projet !
Tu vois, j’ai quitté un peu (beaucoup) pour le moment TiTexte, parce que moi aussi je m’occupe de la publication de mon dernier ouvrage.
Alors si moi qui suis un amateur de chez amateur, où deux éditeurs se battent pour avoir le bouquin, je ne préjuge pas du succès que tu vas finir par remporter avec ton projet !
Allez petit, on baisse la tête et on fonce !
Jean-Michel
À moi non plus ça ne me semble pas être un lettre formatée ce qui est très encourageant même si c’est un refus !
Dites, les uns et les autres, avez-vous déjà été lecteur chez un éditeur ? Si oui, vous savez qu’il ne faut pas trop prendre ça au sérieux. Les lecteurs ne sont pas tous très attentifs, les manuscrits sont nombreux, et rares sont les gens assez peu occupés ou assez consciencieux pour lire vraiment ce qu’ils refusent. Parfois, une faute de français en page trois suffit.
Cela dit, il est bien connu que la principale qualité des auteurs, c’est la persévérance.
Bon courage.