Je sais que Twitter n’est pas encore l’outil de prédilection pour les auteurs, libraires, éditeurs et autres acteurs du milieu de l’édition. Plusieurs personnes comprennent difficilement l’utilité réelle de cette application et je les comprends; même moi, j’ai pigé le truc depuis seulement quelques jours.
J’y raconte tout de même des histoires en direct, pertinentes ou pas, sur le métier d’écrivain.
Donc, ceux d’entre vous qui possèdent un compte peuvent me suivre. Je vous y attends avec plaisir. Pour les autres, laissez faire. Vous n’avez probablement pas besoin de Twitter pour améliorer votre qualité de vie.
Des fois ça se passe sur Twitter, d’autres fois non
je vais m’abstenir pour Twitter, question d’arrêter de perdre encore du temps trop précieux!
Moi je n’ai pas vraiment le choix, si je veux réaliser le projet dont on s’est parlé à Longueuil.
ouais, bien hâte de lire ca
J’étais sur Twitter. Le flot d’information qui y passe est impressionnant, et je trouvais le tout bien intéressant les premiers jours. Puis, je me suis rendu compte que ce n’était pas pour moi, lire les émotions du monde, leurs petites idées, les réponses aux autres…
Trop d’informations.
Je serais peut-être prévenu 3h plus tard si une grosse nouvelle devait éclater, mais vous savez, même si c’était une journée plus tard, la vie passe déjà assez vite ainsi, ça ne sert à rien de stresser. Ce qui doit se savoir se saura, voilà!
@Jason : Le flot d’information est immense. Je pense que le truc pour ne pas s’y perdre est d’en prendre seulement quelques morceaux et laisser le reste. Personnellement, ça m’aide beaucoup à me tenir au courant de l’actualité puisque je ne suis plus abonné au Soleil, à cause d’un problème de camelot. Et ça permet de faire un peu de promotion par la bande, aussi.