L’idée m’était venue en présentant la librairie Durham, mais j’ai eu envie de concrétiser ce concept ici même, sur mon site.
Si vous observez la colonne de droite et descendez un peu, vous verrez un bouton que vous pourrez utiliser pour me verser du pourboire.
Parce que je pense que ce ne sont pas seulement les barmaids qui méritent des cennes supplémentaires.
J’ai préparé une petite page d’explications où sont décrites quelques réalités financières des auteurs québécois. Vous vous en doutez, c’est loin d’être rose.
J’accepte donc ma condition de marginal en acceptant ouvertement les pourboires. Collègues auteurs : si vous croyez que c’est une bonne idée, n’hésitez pas à faire de même sur votre site (et à copier mon bouton, de même que mon texte d’explications si vous jugez que c’est nécessaire).
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Les deux derniers posts semblent démontrer assez bien l'évolution situationnelle que tu es entrain de prendre, une nouvelle voie et un regard personnel et professionnel davatange fixé sur l'avenir que sur le passé... une nouvelle page de ta vie qui se tourne à un rythme lent, mais constant.
J'adore l'idée, et j'adore ta méthode, que je vais adopter si jamais je comprends mieux cette merveille qu'est l'Internet.
J'aime beaucoup l'Idée et la méthode! :) Je crois que je vais attendre la sortie de mon premier roman, puis je vais faire la même chose que toi.
Après tout, il y a beaucoup de site américains qui offrent du contenu
gratuit (web comic, blog, etc) qui ont des boutons "Not hungry, just broke" permettant de faire des donations. Alors pourquoi s'empêcher de le faire à notre tour alors qu'on est pris dans une logique de marché qui ne nous avantage pas du tout.
Merci de ta permission de copier bouton et texte. Je crois que tu vas peut-être partir une tendance lourde chez les jeunes auteurs!
Pourquoi pas! Juste un petit problème: je ne suis pas très Paypal. Et un peu chieuse. Pas très batailleuse. Bravo pour l'audace.
Ayoye! Toi, t'es un visionnaire! Dès que je réussis à publier un bouquin, je me copie ton bouton! :D
So-so-so-solidarité!
J'emboîte le pas sur ma propre page! ;)
L'auteur de science-fiction canadien anglais Karl Shroeder a fait la même démarche. Je ne suis pas allé voir son blogue récemment, mais il expliquait lui aussi qu'il acceptait les donations étant donné la situation précaire dans laquelle vit tout écrivain qui n'est pas auteur de best-seller. Je ne lui ai jamais demandé combien il recevait par année.
Joel : Ce n'est surement pas grand chose, mais si ça peut aider à couvrir certaines dépenses reliées à la pratique, c'est déjà ça.
Excellente idée.
J'ai toujours trouvé que c'était ridicule que le créateur d'une oeuvre ne reçoive pas au moins 50% (musique, littératures, arts...).
Je te souhaite beaucoup de succès avec ton bouton! (euh... ça sonne drôle comme souhait...)