… mais maudit que c’est plate.
… mais ça favorise l’écriture (je viens de le dire, je pense).
Ça fait déjà plusieurs jours que je passe en Beauce, à garder le chien pendant que mes parents partent en voyage. Maintenant, équipé de mon portable tout neuf, je sors dehors, j’allume un feu, je le regarde bruler pendant une heure et je m’acharne sur mon clavier minuscule.
En trois semaines, j’ai déjà révisé la moitié d’Alégracia et le Dernier Assaut. C’est débile. J’avais atteint le même résultat en trois mois pour le second tome.
J’ai même eu le temps d’écrire un Conte du Drakanitt et du Continent-Coloré sur un coin de table.
Mais, être seul pendant si longtemps, je le redis, c’est plate en maudit.
Wow !! T’es en feu ! J’aurais peut-être besoin de ça, aussi… Enfin, bon travail !
Moi aussi je pense que l’éloignement favorise l’écriture… justement je vais profiter de la prochaine semaine de vacance pour m’avancer dans un projet personnel qui j’espère deviendra public l’an prochain :)
Oui, je connais ça.
Parfois, la solitude peut nous peser. Sur le coup, on est aux anges d’avoir tout ce temps à nous. Ravi, on se laisse baigner par le silence, le vide, la quiétude. L’inspiration semble être notre unique compagnon. Mais au bout d’un certain moment, les p’tites habitudes finissent par nous manquer.
Comme ton chum qui vient fouiner au-dessus de ton épaule, rien que pour de donner une bise dans le cou. Le chat qui te quête une caresse en déposant sa patte sur ton bras, les enfants qui te tapotent l’épaule pour te demander où est passé le ketchup. Ouais. C’est plate, mais il faut en tirer le meilleur quand ça passe.
;o)
C’est tout de même super d’avoir revisé la moitié d’un tome en trois semaines. Mais j’avoue, trois semaines tout seul, ça doit être ennuyant à mourir :(
J’espère tout de même que tu t’accordes un peu de repos de temps en temps. Parce que seulement de la révision pendant trois semaines… je ne sais pas si j’en serais capable ‘^^
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