Je suis revenu du Salon du livre de Montréal l’esprit enrichi de quelques rencontres avec des gens hyperintéressants. Et aussi avec un sac rempli de livres neufs. Parmi mes nouvelles acquisition, on compte :
- Contre Dieu, de Patrick Senécal;
- L’humain de trop, de Dominique Nantel;
- Le Serrurier, de Mathieu Fortin;
- Réussir son hypermodernité et sauver le reste de sa vie en 25 étapes faciles, de Nicolas Langelier;
- L’incident, de Pierre H. Charon;
- La nuit du tueur, de Jonathan Reynolds; et
- Burquette tome 2, de Francis Desharnais.
Cette frénésie de salons est terminée pour cette année. Je ne suis pas déçu, dans un sens. J’adore toujours mes expériences dans les salons, mais cette année, on dirait que j’avais davantage envie d’être chez moi et d’investir mes heures dans mes manuscrits.
C’est peut-être un sentiment passager.
Je fais la tournée du Québec depuis 6 ans « non-stop ». Avant, j’essayais de faire le plus de salons possible, et d’y rester du jeudi au dimanche. Non seulement c’est essoufflant, mais ça finit par couter cher, à la longue.
Si je veux continuer dans ce métier, je dois commencer à revoir mes dépenses… et couper là où c’est nécessaire.
L’an prochain, donc, ça risque d’être différent. Je vais encore faire la tournée des salons, mais je risque d’y passer moins de journées. À moins, bien entendu, que mes frais de déplacement et d’hébergement soient payés (en étant un auteur invité ou en faisant des rencontres scolaires, par exemple).
Ce sera un retour à la normale, bref.
Sur ce, je vous salue et retourne à mon nouveau manuscrit.
Ping :lacapitaleblogue.com | links for 2010-11-22