Le 12 août dernier, j’étais en séance de signatures à l’épicerie Mathieu-Dulac de Saint-Odilon. J’organisais l’évènement dans le cadre de la journée intitulée Le 12 août, j’achète un livre québécois.
Émanuelle (la propriétaire) m’avait installé près de l’entrée, à côté des barres de chocolat, et elle m’avait même fourni une chaise berçante, qui n’a pas manqué de susciter des réactions telles que : « T’es ben un Bellavance, toi! T’apportes ta chaise berçante pour signer des livres! » (Il paraît que dans notre famille, on aime ça, se bercer. Je confirme. Je confirme…)
Vous étiez des dizaines à être venus me dire bonjour et à vous informer – avec un vif intérêt – sur ce que j’avais concocté après Alégracia. Car si les lancements d’Alégracia ont tous été tenus à Saint-Odilon, ceux de mes autres livres se sont déroulés à Québec, et ainsi certains lecteurs avaient perdu de vue mes activités.
Ça a été vraiment touchant de voir qu’autant de monde s’intéressait encore à mes péripéties dans le monde littéraire, 10 ans après ma première publication.
Et beaucoup de livres ont trouvé preneur! Pour moi, c’est hyper motivant de savoir que mes romans recommençaient à circuler dans mon village natal. Après tout, c’est là que tout a commencé.
Les romans ayant suscité le plus d’intérêt ont été La nouvelle hantise, suivi de près par Roman-réalité, de façon fort inattendue (et tant mieux!)
Bref, ça a été un vif succès.
Merci d’abord à la Municipalité d’avoir promu l’évènement via le panneau électrique du village :
Merci également aux lecteurs, et, surtout, merci à Émanuelle Mathieu de m’avoir accueilli dans son épicerie!