Petit billet pas trop long pour vous donner signe de vie. (Ça fait souvent ça durant l’été… c’est tranquille dans le milieu littéraire, moins de choses à dire.)
Je dis souvent que je profite pas assez de l’été, qu’un beau matin, je me réveille et c’est l’automne, et je me dis : « Batinsse, qu’est-ce que j’ai fait encore cette année? »
Ben en 2017, c’était un peu différent. L’été était inégal (quelques jours de beau temps, beaucoup de pluie et de vents froids), mais j’en ai profité en masse.
Conséquence : le travail a moins avancé que d’habitude… COUDONC, HEIN?
Donc, où en suis-je?
Une fois que je remettrai la main sur le document, il me restera à approuver les corrections et à compiler les fichiers numériques. Ce ne sera pas bien long, puisque la majorité du travail de mise en page a déjà été préparé avec le tome 1 (j’utilise le même gabarit).
(Et je dis que ça achève… Je n’exclus évidemment pas que ma réviseuse puisse m’annoncer qu’une catastrophe se cache entre les pages de mon récit et que je doive investir quelques semaines supplémentaires de travail là-dedans. Comme on dit : « Toute se s’peut »).
La mise en page sera plus complexe avec la version papier — qui sortira plus tard après la version numérique –, puisque j’ai l’intention de réajuster un peu les marges intérieures. Et chaque livre papier a ses propres caprices, à ce qu’il paraît. On verra bien.
Date de sortie prévue?
Je ne peux le dire précisément. Fin septembre? Mi-octobre? Vous le saurez en même temps que moi, promis.
(En passant, avez-vous lu le résumé?)
En fiction, quand je réécris, mon livre enfle d’environ 10 à 20 % parce que j’ajoute des détails, des descriptions et des évènements.
Quand je réécris un guide pratique, essentiellement, je ne fais que remanier mes phrases pour que ça sonne mieux. Je m’étais efforcé dès le premier jet à présenter des informations assez complètes. Évidemment, je fais des ajouts ici et là, mais rien de majeur. L’essentiel me semble être en place. (Et il faut bien, ça fait déjà 90 000 mots, cette affaire-là!)
Bref, le travail sera beaucoup plus facile (et rapide) que la réécriture de ma dernière fiction qui faisait 50 000 mots.
J’ai vraiment hâte de vous le montrer.
Encore rien de fait dans ce livre, à part avoir déterminé « à peu près » ce qui va s’y produire, avoir trouvé le titre et conçu la page couverture. Je compte m’y mettre quand Les vieilles rancunes sera sur le marché et que je n’aurai plus à penser à celui-là.
* * *
Ça fait pas mal le tour des projets. Le blogue va sûrement reprendre vie en septembre, quand les nouveautés vont se pointer le museau et que les activités littéraires foisonneront.
Et vous, à quoi a ressemblé votre été?
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Ah tiens, j'suis pas la seule qui se dit toujours qu'elle n'a pas profité de l'été... Remarque, je n'aime pas particulièrement l'été (comme mes vacances fin août-début septembre pouvaient le laisser présager). Mais l'automne, ah l'automne... *sourire béat* Sinon, hé, ça avance quand même tous ces projets! :)
Ah moi je prendrais bien de l'été 365 jours par année. Mais faut l'avouer, j'aime bien aussi le printemps et l'automne; la seule chose qui les ternit dans mon coeur, c'est qu'ils jouxtent l'hiver.
L'hiver, j'envie les ours.
Et oui, en effet, tout ça avance! C'est motivant :)