Le Salon du livre de l’Estrie est terminé depuis hier. Cependant, je me retrouve encore dans une chambre d’hôtel à Sherbrooke, non pas parce que j’ai eu des problèmes de voiture, mais bien parce je donnerai une conférence ce soir au Restaurant Le Cartier. Ensuite, je rentrerai à Québec.
Ceci dit, je profite de mon temps libre pour vous partager mon expérience au salon. J’aimerais d’abord remercier les fans qui sont passés à l’un de nos kiosques pour jaser ou faire signer leurs livres. Sherbrooke est sans aucun doute la ville où on retrouve le plus de fans d’Alégracia au kilomètre carré. Ce fut un plaisir de parler avec vous!
J’y étais donc de jeudi à dimanche.
Les deux première journées ont été tranquilles (particulièrement le vendredi, où nous attendions des groupes de secondaires qui ont brillé par leur absence.) J’ai tout de même eu la chance d’avoir une entrevue télévisée à Radio-Canada, longue d’une minute et pas une seconde de plus. Une première expérience pour moi devant la caméra (à part quelques obscures passages à des canaux communautaires.) Je crois que je m’en suis bien sorti. Néanmoins, et pour suivre le conseil des écrivains plus aguerris, je n’ai pas regardé la vidéo.
Le samedi, nous avions remarqué qu’un des éditeurs ne s’était pas présenté à son kiosque, à l’autre bout de la salle. On a profité de l’occasion pour aller parler aux organisateurs et, avec leur accord, les Six Brumes ont envahi cet espace vide. Nous étions donc à deux endroits en même temps.
Grâce à cette stratégie, nous avons généré pas mal de ventes, mais c’était deux fois plus brulant. Imaginez : il fallait gérer deux kiosques avec seulement 2 ou 3 personnes… Les pauses, on oublie ça!
En tout et partout, j’ai découvert que l’attente était bien grande pour Alégracia et le Dernier Assaut. Ne découragez pas, le livre s’en vient!
Donc, voilà. Prochain arrêt : le Salon du livre de Montréal.
J’ai trouver sa super de venir parler avec toi :) J’espere que tu tes bien amuser