L’évènement est maintenant fini pour moi (mais pas pour les autres, car le Salon du livre de Montréal, ça dure jusqu’à lundi soir.)
J’y étais officiellement vendredi et samedi, de 9 h 00 à 18 h 00. J’ai quand même passé au kiosque des Six Brumes le jeudi puisque je me trouvais dans la métropole.
Comment ça s’est passé? Je ne saurais dire. Ayant visité ce salon pour la première fois, je n’ai aucune base pour comparer. Cependant, au kiosque, on s’était donné des objectifs énormes. « Avec 120 000 visiteurs, on va en vendre en tabar… » Non. Ça ne s’est pas nécessairement passé comme ça.
Oui, il y a beaucoup de monde à Montréal. La compétition est féroce et le salon est immense. Vraiment! Assez pour se perdre dans la bâtisse. Une si grande superficie, ça dissout bien une foule.
Et il y a tellement de kiosques!
Nous avons donc réalisé bien peu de ventes les mercredi et jeudi. Un peu plus le vendredi. Pas mal plus le samedi, mais on se demandait toujours si les revenus générés lors de l’évènement allaient permettre à mon éditeur de faire ses frais.
Ça reste à voir… Le salon n’est pas terminé.
j’ai hâte d’avoir les chiffres finaux!