Je déteste bloguer sur un netbook. Le clavier est trop petit, l’écran aussi. Et j’aime encore moins écrire sur ces mini-ordinateurs lents et peu pratiques.
L’ordinateur que j’ai acheté ne remplit pas ces fonctions, finalement. J’aurais dû opter pour un 15 pouces.
(j’avais choisi la légèreté, mais maintenant j’ai une voiture pour transporter la machine)
C’est pourquoi je n’ai pas blogué en direct du Salon du livre d’Edmundston. Je me rattrape donc dans le confort de mon bureau.
Journée assez remplie. J’ai rencontré deux groupes à la Cité Des Jeunes A. M. Sormany (l’école secondaire où se déroulait le salon). Ça s’est bien passé, malgré le fait que ma télécommande pour mon PowerPoint ait manqué de batteries au milieu de ma conférence.
Au moins, j’avais apporté des réserves.
D’ailleurs, quand j’ai publié la photo ci-dessus sur Twitter, deux personnes m’ont traité de hipster en faisant référence au film American Beauty. Je ne suis pas encore certain de comprendre…
J’ai fait deux séances de signatures le soir, entrecoupées par la cérémonie d’ouverture officielle du salon. Fait cocasse : un des sous-ministres (je suis pas sûr) a fait un discours en français, suivi du même discours en anglais. Ça a provoqué des haussements de sourcils dans la salle.
Voyez-vous, les Acadiens d’Edmundston considèrent le salon du livre comme une manière de défendre le français dans leur région. Malaise.
J’avais une séance de signatures de 19 h à 20 h seulement. J’ai donc végété dans ma chambre d’hôtel à lire Mockingjay et à boire du café.
C’était le fun.
En après-midi, Jonathan est passé à l’hôtel, puisqu’il revenait de faire une série de conférences dans un village, à une heure et demie de route.
Le soir, j’étais supposé aller veiller, mais j’étais trop « pantoufle » pour quitter la chambre. Je deviens, lentement, un mononcle paresseux. Honte à moi.
Le matin, j’ai fait la première entrevue au salon du livre. Souvent, à la première entrevue, personne est là pour t’écouter.
Y’avait donc personne.
J’ai quand même eu du plaisir à jaser de Toi et moi, it’s complicated avec l’intervieweuse. J’aime quand les gens sont préparés avant une rencontre.
Ensuite, je me suis assis pour une dernière séance de signatures puis j’ai repris la route vers la province de Québec.
Comme toujours, un merveilleux salon rempli de belles rencontres, de lecteurs et d’accent Acadien. Je remercie Valérie Hachey pour l’invitation et toute l’équipe pour avoir organisé l’évènement de façon exemplaire.
Je serai au Salon du livre de Québec de jeudi à dimanche. Voici mes heures de signatures :
Pour le roman Toi et moi, it’s complicated (kiosque 601) :
Pour Sintara et le Scarabée de Mechaeom (kiosque 313) :
On vous y attend en grand nombre!
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