Avant de partir pour Edmundston, j’ai préparé un petit présentoir avec un code QR pour permettre aux visiteurs de visualiser la capsule vidéo de Toi et moi, it’s complicated.
Je tâte le pouls. Je sais que les codes QR en sont encore au stade larvaire. On en affiche quelques fois dans les publicités à l’intérieur des autobus ou même dans la présente campagne électorale.
Vous pouvez parier sur le nombre de personnes qui vont l’utiliser devant moi. Pour ma part, je vote pour 0 (pessimiste, mais réaliste). Je vous fournirai le total à mon retour.
Salon du livre d’Edmundston 2011 – Jour 0
Ping :lacapitaleblogue.com | Suggestions du jour 04/07/2011
Je vote pour au moins une personne. Puisqu’il est certain qu’un visiteur te demandera… Kossé ça?!
Et là, tu lui fera une petite démo.
Grande question: est-ce que le code QR pourrait permettre à l’usager de télécharger un extrait de ton roman sur son téléphone? Si oui, j’imagine facilement, dans quelques années, les visiteurs de salons se promener, téléphone en main, à la recherche de ces petits symboles… et ça nous changerait des chasses aux signets, non?
Annie : Oui, ce serait possible (on peut rediriger à n’importe quelle adresse Web, même un fichier). Mais l’usager doit être connecté à Internet.
Jusqu’à maintenant, le score est encore à zéro.
C’est parce que tu es en avance sur ton temps! ;-)
Score final : 0.