Hier, j’ai répété l’expérience d’aller travailler dans un café. J’ai repris une vieille habitude que j’avais développé durant la correction d’Alégracia et le Serpent d’Argent, mais que j’avais délaissé ensuite : imprimer mon livre et le raturer au stylo. Pas
Écrire dans un lieu public
Aujourd’hui, trouvant mon appartement morbidement silencieux, j’ai décidé de sortir pour aller écrire dans un café. C’était la première fois que je m’aventurais à travers le monde pour « créer » du texte. Je dis ça parce qu’il m’arrivait, à l’époque, de
Basculer des vacances vers le mode actif
L’été pluvieux se termine. Un été comme ça, c’est mauvais pour l’humeur mais bon pour le travail (en considérant, évidemment, que le travail n’est pas influencé par l’humeur). L’écriture intensive, les salons du livre, les lancements, les séances de signatures,
L’ermitage favorise l’écriture
… mais maudit que c’est plate. … mais ça favorise l’écriture (je viens de le dire, je pense). Ça fait déjà plusieurs jours que je passe en Beauce, à garder le chien pendant que mes parents partent en voyage.
A little trip under the sun
Tout s’est déroulé dimanche dernier. Assis dans mon salon, je décide de suivre le conseil de Gabriel (ie. travailler ailleurs que chez moi). J’en ai assez d’être enfermé à l’intérieur, à réviser le tapuscrit d’Alégracia and the Silver Serpent, pendant