Celui-là, je m’y attendais un peu. Je ne croyais pas vraiment être capable de publier chez Québec Amérique à mon âge. Dans 10 ans, peut-être. Mais je devais essayer, juste pour voir. Malgré tout, le message envoyé par la maison
L’ambition de l’écriture (2): Éclater les limites
Le livre est le format traditionnel de la littérature. Après tout, ne dit-on pas que Gutenberg, sur sa presse tout juste inventée, a imprimé la Bible comme premier produit? Pas un journal, ni une lettre, mais bien un livre ma
Deux nouveaux refus
Cette semaine, deux refus sont rentrés dans ma boite de courriels pour Caressez-moi. Le premier, je l’avais anticipé. En parcourant ce que cette maison d’édition publiait, j’ai commencé à me demander pourquoi j’avais envoyé mon tapuscrit là-bas. Résultat : un
Comment présenter votre projet d’écriture à un éditeur pendant un salon du livre
Parcourant les différents salons du livre de la province depuis 2005, j’en ai vu des vertes et des pas mures. On rencontre toutes sortes de lecteurs : les geeks, les passionnés, les occasionnels, les pas-convaincus-mais-qui-achètent-juste-pour-voir… et aussi beaucoup d’auteurs débutants
Une dernière révision et puis go
Je relis Caressez-moi une dernière fois, pour être certain de ne pas avoir laissé de « résidus de correction ». Ensuite, j’enverrai mon tapuscrit aux éditeurs. Je me prépare un document Excel pour faire le suivi de mes soumissions. J’y noterai à
Triple soumission
Je ne suis pas un nouvelliste. J’écris rarement des textes courts et quand je le fais, c’est souvent pour enrichir une histoire plus importante. Bon nombre de mes nouvelles sont impubliables (absence d’introduction, développement-éclair et absence de conclusion). D’autres ne