Il me semble qu’un phénomène a tendance à s’accroitre sur le Web : des écrivains sur des réseaux sociaux qui se vantent sporadiquement d’avoir écrit 2000, 3000 ou 4000 mots aujourd’hui, dans leur nouveau bouquin. Avant, ce genre de commentaire m’impressionnait.
Le Web sur l’autel sacrificiel
J’ai trop de patentes à regarder sur le Web. Ça me dérange. Depuis juin 2007 (année d’ouverture du présent blogue), je prêche aux nouveaux auteurs d’utiliser les technologies de l’information pour promouvoir leurs œuvres et leur travail. Je me souviens