Hier, j’ai répété l’expérience d’aller travailler dans un café. J’ai repris une vieille habitude que j’avais développé durant la correction d’Alégracia et le Serpent d’Argent, mais que j’avais délaissé ensuite : imprimer mon livre et le raturer au stylo. Pas
Moins cher la demi-douzaine
Certains se rappellent de la fois où Louis-José Houde a pété sa coche contre l’expression « demi-douzaine ». Y’a un mot pour ça : SIX!!! … qu’il disait. Il n’a pas tort. Sauf qu’en fiction, il arrive où cette petite
Une dernière révision et puis go
Je relis Caressez-moi une dernière fois, pour être certain de ne pas avoir laissé de « résidus de correction ». Ensuite, j’enverrai mon tapuscrit aux éditeurs. Je me prépare un document Excel pour faire le suivi de mes soumissions. J’y noterai à
Une autre étape franchie
Bon, on dirait que j’ai terminé les corrections préliminaires sur Caressez-moi. J’ai noté deux passages en particulier qui méritent d’être retravaillés encore, mais je veux attendre avant de m’y remettre, pour laisser le texte reposer un peu. Prochaine étape :
Erreurs niaiseuses
« Il poursuivit sa lecture sans quitter le papier du regard. » « Riuth le savait très parfaitement. » « Il y en avait beaucoup trop peu. » … le genre de faute que j’aimerais arrêter de faire.
XXVIII en chantier
Aujourd’hui, j’ai commencé à écrire le chapitre XXVIII d’Alégracia et le Dernier Assaut. Ma performance : 4000 signes. Pas si mal, pour un écrivain rouillé. Je n’avais pas touché au roman depuis le 11 janvier 2008 et, encore là, c’était