Salon du livre du SaguenayAujourd’hui, mon portable a fait une trève de « plantage » et je pourrai donc prendre mon temps pour vous raconter ma journée mouvementée. Ouf!

Tout à commencé avec un réveil assez pénible. Certes, la voix de Mr. wake-up call était suave, mais j’aurais dormi AU MOINS trois heures de plus. Sinon quatre. Je vais reprendre tout ce sommeil perdu bientôt. Promesse à moi-même!

Et ensuite, la machine grille-pain nous a fait quelques farces en décidant de ne pas fonctionner. Il nous a donc fallu trois essais pour obtenir des croissants… chaudailles.

Le déjeuner continental du Richelieu

Au moins, la température extérieur annonçait une journée mouvementée. Et elle l’a été, je peux vous le promettre!

De la pluie le matin

Tout d’abord, une vague d’écoliers du secondaires ont envahi les couloirs. Une petite pause par la suite puis, dès le début d’après-midi, le kiosque n’a pratiquement pas dérougi de la journée. D’ailleurs, Jonathan et moi avions fait un concours pour savoir qui des deux allait vendre le plus de livres. Au début, la bataille était plutôt serrée. Puis Jonathan a pris une avance considérable… Mais ça, c’était seulement pour que ma remontée finale soit plus spectaculaire. Ha! Dans les dents, Reynolds ;)

Au kiosque des Six Brumes

Et surprise! Nous avons découvert, dans notre horaire, que nous pouvions assister à un 5 à 7 des auteurs. En tant qu’antagonistes mortels, Jonathan et moi avons décidé de nous y rendre ensemble. Les rencontres dans ce petit lieu obscur ont été très enrichissantes (ainsi qu’ailleurs aussi, faudrait pas discriminer)! En tout, j’ai entretenu des discussions fort intéressantes avec Alexandra Larochelle, Corinne De Vailly, Maxime Roussy et le bédéiste Prouche. Entre autres. Il a fallu montrer un peu de retenue pour ne pas sortir de là saoul raide. Le vin étant gratuit et, évidemment, plusieurs écrivains en ont profité pour se rougir le nez!

J’ai déjà passé tellement de temps au salon que je commence à m’y enraciner. Oui, oui! J’ai même l’impression d’y développer un petit sentiment d’appartenance. C’est presque mélancolique (imaginez Passe-partout qui vous dit ça à la f’in d’une émission, ça vous tirera une larme). Je serai content de partir demain après-midi, mais je serai triste de quitter cette « maison d’auteurs » où tout le monde cohabite avec ses livres. Ça bouge, c’est le fun!

Un auteur dans le programme

Bon, ça suffit les passages emo. Il est temps de dormir.

*clic*

Un vendredi bien garni
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